commentaire sur germinal d'émile zola, la 5eme partie
L’extrait de Germinal est réaliste. En effet, Emile Zola utilisé un cadre spatio-temporel ancré dans la réalité. Le lieu, les mines, et le temps de la grève, six semaines sont réél. Dans le réalisme, il n’y a pas de sujet tabous, c’est pour cela que Zola raconte la grève des salariés et l’émeute. Puis, toutes les classes sociales doivent être représentées, ici les salariés et le directeur sont présents, donc le « peuple » (l.3) et les dirigeants sont représentés. Zola dénonce aussi la réalité sociale, la précarité du peuple. Pour cela, les personnages sont détaillés. En effet, la description des personnages dénonce la réalité sociale. Les femmes sont décries comme mal habillé : « aux genilles montrant la peau nue » (l 6-7), avec des « cheveux épart ». Cela montre la pauvreté dans laquelle elles vivent elles mais aussi leurs enfants « meurt de faim » (l7). Les vêtements des hommes aussi montrent la réalité sociale, car « les culottes deteintes » (l 13) et « les tricots de laine en loques » sont aussi signes de pauvreté. Donc, Zola dénonce dans cet extrait réaliste, le réalité sociale par la description des hommes et des femmes. Pour que sa thèse soit mieux-comprise, Zola donne à l’émeute une impression de puissance.
Zola donne une impression de puissance aux femmes au début de l’extrait en faisant une hyperbole : « près d’un millier de femmes ». Il fait trois groupes de femmes pour mieux distinguer leur puissance. Le premier est le groupe des