commentaire texte Nietzsche
Ce texte est question de façon générale sur la pensée de notre conscience intellectuelle (réfléchie). L'auteur a une position très critique sur cette pensée, il nie définitivement se sujet. Il justifie ceci par la population normale eux vont y croire mais le philosophe lui (comme l'auteur) va juste se poser plus de questions, des questions métaphysiques. La problématique que l'auteur fait surgir est que s'il pense à la question de penser «que c'est moi qui pense, que, d'une façon générale, il existe quelque chose qui pense, que penser est un acte et un effet qui procèdent de l'être conçu comme cause, qu'il y a un je, enfin, que l'on a déjà établi ce que désigne le mot penser et que je sais ce que signifie penser.» (ligne 11 à 14), c'est difficile à fonder cela, donc voici la problématique il est très difficile de déterminer la notion de la penser pour ce philosophe. En première partie, Nietzsche et ces soupçons sur Descartes et Kant au niveau de la pensée, en deuxième, les oppositions de ce philosophe sur certain sujet de Descartes et de Kant, troisièmement, la pensée commune entre ce philosophe, Marx et Freud.
Premièrement, Nietzsche a des soupçons à propos des idées de Descartes et de Kant sur la pensée. Nietzsche pense que la pensée est le niveau le plus élevé du psychique car pour lui, il est presque impossible de déterminer pour lui le niveau de la pensée comme «que c'est moi qui pense, que, d'une façon générale, il existe quelque chose qui pense, que penser est un acte et un effet qui procèdent de l'être conçu comme cause, qu'il y a un je, enfin, que l'on a déjà établi ce que désigne le mot penser et que je sais ce que signifie penser.» (ligne 11 à 14), car cela lui amène pleins de questions métaphysiques comme «d'où me vient la notion de pensée? Où prends-je le droit de parler d'un je, et même d'un je qui serait cause,