Candide et rousseau sont deux grand écrivain et philosophe français qui ont marqué le XVIIIe siècle. Ils sont des figures emblématiques de la France des lumières. Lamentablement ces deux hommes s’opposent, se haïsse et sont protagoniste de plusieurs dispute littéraires entre eux. Ce texte est un exemple de cette opposition. Dans cet essai, qui est un extrait des « questions sur l’Encyclopédie » qui date de 1770, voltaire exprime ses opinions sur le droit de propriété en parallèle avec l’opinion de Rousseau. Nous nous demanderons donc en quoi ce texte est-il argumentatif. Nous verrons en premier la thèse de Rousseau et deuxièmement la thèse de Voltaire.

Voltaire présente sa thèse en se fondant sur la thèse de Rousseau en la montrant de façon violente et désordonner. Au moment où il désigne l’opinion de cet auteur voltaire utilise un champ lexical de la violence, illustré par des termes comme « crimes » (l.6) « meurtres » (l.6) ou « horreurs » (l.6).Cela provoque un impact dans le lecteur qui lui aussi va finalement être contre la thèse de Rousseau à cause de sa violence. Cela est en plus renforcer par l’accumulation des ses termes, « que des crimes, de guerres, de meurtres, … » (l.6). D’autre part, voltaire montre dans la thèse de Rousseau un désordre et une incertitude des personnes qui ne savent pas quoi penser et qui suivre, car on leur dit de ne pas « écouter [un] imposteur » (l.8). Cela va encore provoquer le mécontentement du lecteur envers la thèse de Rousseau. Mais l’auteur ne s’arrête pas là, il attaque Rousseau et sa thèse. À travers de périphrase, « le même auteur, ennemi de la société » (l.1), et d’antiphrase, « ce beau philosophe » (l.11), voltaire désigne Rousseau à travers un ton péjoratif. Il le compare avec un « renard sans queue » (l.1). Il le montre inférieur à lui par sa façon de penser et son style « magistral » (l.3), à travers ici d’une antiphrase aussi. Ce texte appartient au registre polémique car il y a une claire confrontation et un