Contraception
Matheron Alexandre
SVT Partie IV, Thème 6 : la maîtrise de la reproduction
Compte rendu de Recherche documentaire
Sujet : CONTRACEPTION, CONTRAGESTION et I.VG : définitions, différences et législation.
Introduction :
Les méthodes contraceptives et contragestives permettent de choisir le moment d’avoir un enfant ou non. L’absence de contraception, ou aléatoire, est la cause principale de recours à une interruption volontaire de grossesse (I.V.G) dans des conditions définies par la loi. Les méthodes contraceptives agissent de différentes manières. Elles peuvent être mécaniques (préservatifs, diaphragme, cape cervicale) en empêchant le passage des spermatozoïdes dans le vagin. Les contraceptifs chimiques (spermicides) détruisent le sperme. Ceux hormonaux (pilules combinées, patch, implant, anneau vaginal, stérilet au cuivre) bloquent l’ovulation grâce aux hormones qu’ils contiennent et libèrent dans l’organisme. Photos de pilules combinées, source : http://www.labosvt.com Les contragestifs (patch, implant, stérilet hormonal, anneau ou pilules progestatives) empêchent l’implantation de l’embryon dans l’utérus. La « pilule du lendemain » agit après la formation de la cellule œuf.
Il existe aussi des méthodes chirurgicales définitives chez l’homme et la femme et plusieurs méthodes naturelles mais contraignantes. L’interruption volontaire de grossesse peut se faire par la prise de médicaments (jusqu’à 5 semaines de grossesse) ou par aspiration de l’embryon à l’hôpital. C’est en 1967, loi Neuwirth, qu’est autorisée la fabrication des contraceptifs et leur vente, puis en 1974, une loi autorise leurs remboursements par la sécurité sociale. Ce n’est qu’en 2000, qu’une loi facilite l’accès à la contraception d’urgence pour les mineures. L'autorisation de pratiquer les IVG