ecriture dinvention
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Je me souviens encore de cet été ou j’ai passe des moments inoubliables dans mon pays natal: l’Algérie. Ma mere et moi etions aller pour y passer les vacances d’été. Dans le temps on allait en Algerie tout les trois ans, il fallait donc profiter au maximum de chaque été. Une de mes tantes maternelles avait loue un bungalow au bord de la plage pour y passer quelques jours ma mere, mes deux cousines, ma tante et moi. Cette plage ne se trouvait pas dans la capitale mais dans une autre ville un peu plus loin. Ma tante avait bien fait d’en choisir une en dehors d’Alger car la-bas la plupart des plages été tres peuplees et certaines de mauvaises frequentaion ou on ne pouvait pas s’amuser plainement. Ce qui différenciait cette plage des autres était le fait qu’elle ne soit justement pas tres remplie et était tout simplement magnifique. L’eau était tres claire et propre, de couleur turquoise, les vagues formaient des ecumes quand il y avait un peu de vent, le ciel était toujours bleu, le sable était fin, il y avait meme quelques rochers d’où on pouvait plonger. A chaque debut d’apres-midi, il y avait un vieil homme qui passait devant les gens assis sur le sable pour leur servir du the a la menthe. Derriere lui le suivait un petit garcon qui tenait un gros panier remplis de beignets tout chauds qu’on achetait pour les déguster. Ca a été pour moi la plus belle plage que je n’ai jamais vu.On s’asseyait toutes les cinq, sous le parasol, autour d’une petite table ronde, a discuté de tout et de rien. Les histoires n’en finissaient jamais, surtout entre ma mere et sa sœur, mais bon ; c’était un peu normal puisqu’elles ne s’etaient pas vu depuis trois longues annees. On allait aussi pataugeaient dans l’eau, on ramassait des petits coquillages, je faisais meme des chateaux de sable avec mes deux petites cousines. On passait ainsi nos apres-midis. Mais le meilleur était de contempler le coucher du soleil. C’était une vue magnifique, une journee sans l’avoir contemplé était