État du problème

L’huile de palme est une huile végétale qui est extraite de la pulpe du fruit des palmiers à huile. Cette huile est la plus consommée au monde à 25%. C’est un ingrédient traditionnel des cuisines d’Afrique, d’Amérique du Sud et de l’Asie. L’huile est extraite par pression à chaud. Elle est riche en acides gras saturés la rend semi-solide à température pièce, c’est donc une graiseé végétale. Cette huile est la deuxième huile la plus riche en vitamine E, après huile de germe de blé. Ce taux de vitamine diminue fortement après raffinage, chauffage et cuisson. L’huile de palme est principalement utilisé dans l’alimentation à un taux de 80%. Cette huile est aussi utilisé afin de remplacer les graisses animales qui sont plus chers et plus difficiles à travailler. Cette huile a plusieurs caractéristiques avantageuses telles que d’avoir une forte concentration d’acides gras saturés, d’être plus stable à la cuisson que d’autres huiles, d’avoir un goût neutre et à la fois raffiné puis de permettre une bonne conservation du produit fini. En France, on consomme 126 000 tonnes d’huile de palme à usage alimentaire par année, ce qui signifie 2kg par habitants et par an en moyenne. Depuis 1995, sa demande a augmenté de 8,7% par an. Il y a donc une grande croissance de la consommation mondiale. En 2020, sa consommation pourrait atteindre 40 millions de tonnes, tandis qu’en 2010, elle était de 22,5 millions de tonnes . Son rendement à l’hectare de palmier à l’huile est dix fois plus élevé que celui du soja, qui est la deuxième huile mondiale. Les graines sont placés en fermentation durant un an dans des conteneurs puis les graines sont semées puis arrosé. Après deux ans, elles peuvent être plantés dans les plantation pour être récoltés par la suite. Par contre, cette huile a un certain impact sur la santé et sur la biodiversité.