La recherche du bonheur semble être universelle : tous les Hommes aimeraient le trouver, accéder à cet état heureux, cet état de plénitude, de joie intense. En philosophie, le bonheur peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique, le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et souverain Bien : La modernité est beaucoup plus pessimiste sur sa possibilité. Entre les deux, les morales chrétiennes ont tenté de remplacé le bonheur par la sainteté comme le but de l'existence.
La recherche est le fait de tenter d'obtenir quelque chose, donc la recherche du bonheur peut apparaître comme ce qui anime et oriente notre existence. Le verbe falloir peut avoir trois nuances de sens. Il renvoie d'abord à une nécessité, logique ou vitale : c'est ce qu'on ne peut pas ne pas faire. Il peut correspondre aussi à un devoir au sens moral. Enfin, il peut s'agir d'un simple conseil, ou encore de ce qu'il est préférable de faire. Alors, faut-il toujours rechercher le bonheur ? Pourquoi ne pas toujours le rechercher alors que son obtention nous facilite la vie N Mais le rechercher nous amène-t-il pas à souffrir et à vivre la déception ? Et enfin, la recherche du bonheur ne peut-elle pas être modérée ?

Tout d'abord, nous allons voir que le bonheur devrait être toujours recherché puisque, lorsque nous arrivons à l'obtenir, il est beaucoup plus facile de vivre. On peut donner plusieurs exemples : en effet, on sait que la réussite fait partie du bonheur, mais il faut chercher à l'atteindre. Par exemple le travail amène ensuite à la réussite ; le moment de l'arrivée d'un salaire pour une personne est une moment heureux, cette personne l'a recherché en travaillant correctement et en ai maintenant fier. La compréhension est aussi une sorte de bonheur ; lorsque nous ne comprenons pas quelque chose, pendant les études par exemple, on est souvent déçu. Mais si on essaie de comprendre cette chose, et que nous y arrivons, on ressens une sorte de