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Le mouvement d'égalisation des droits entre les hommes et les femmes est assez récent. Il s'est notamment généralisé dans les sociétés occidentales dans les années 1960 (mouvements féministes qui s'y sont notamment développés).

Concevant la famille comme une société volontaire, l'Église a donné au mari le rôle de chef en se fondant sur l'épître dans laquelle l'apôtre Paul de Tarse préconise la soumission de la femme à son époux, tout en recommandant à ce dernier de l'aimer comme un autre soi-même :

En France, les femmes ont longtemps eu un statut juridique inférieur à celui des hommes

L'incapacité juridique de l'épouse a été supprimée par la loi du 18 février 1938, tout acte juridique fait par une épouse sans l'autorisation de son mari avant cette date est juridiquement nul

Leur égalité juridique n'est venue que dans les années 1960-70 (permission d'utiliser un carnet de chèque sans l'autorisation du mari, responsabilité parentale, etc.).

En France, les inégalités des hommes et des femmes devant les emplois demeurent.

Les salaires des femmes sont en moyenne plus faibles que ceux des hommes, même à poste et niveau de formation équivalents16. Cette différence de revenus est généralement attribuée aux discriminations16. En 2009, le salaire mensuel net moyen d’un homme travaillant à temps complet s’élevait à 2 240 euros, tandis que celui d’une femme était de 1 834 euros, soit un salaire inférieur de 18,1 % à celui de son collègue masculin17.

Concernant les systèmes de retraite, les retraites par capitalisation (fonds de pension) désavantagent mécaniquement les femmes, contrairement aux systèmes par répartition, en étant calculé en fonction de l'espérance de vie

Entre 1901 et 1930, on compte 7 millions de femmes salariées, contre 13 millions d'hommes ; dans l'entre-deux-guerres, elles sont 6,6 millions contre 12,7, en 1968 7,1 contre 12,7, en 1990 10,5 contre 13,519.

Les femmes seraient « passives » : ainsi, jusqu'au début du xxe siècle,

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