L’inconscient

Introduction :
On définit de manière générale l’inconscient comme ce qui n’est pas actuellement conscient. Ce serait donc quelque chose qui serait l’inverse de la conscience. Par exemple une partie de mes souvenirs sont inconscient parce que je n’y pense pas, ils ne sont pas actuellement dans mes pensées. On appelle également un acte inconscient une activité que j’effectue sans intentions, sans y pensés, il y dans cette idée d’inconscient quelque chose du l’ordre du mécanique. Le véritable problème de l’inconscient n’est pas seulement qu’il n’est pas actuellement conscient mais qu’il n’est pas susceptible de le devenir. Comment puis-je avoir un souvenir dont je ne me souviens pas ? C’est pour cela que Sigmund Freud le créateur de la psychanalyse dit «nous réservons le nombre d’inconscient au fait psychique refoulé c’est à dire dynamiquement inconscient ». La possibilité de la conscience suppose que la conscience n’exerce pas un contrôle total sur l’ensemble de l’activité humaine. Kant pensait que le « je pense »/le cogito, est une condition de possibilité de toute représentation, il n’y a pas une représentation qui ne passe pas par un sujet pensant, cela signifie que je suis conscient de tout ce que je me représente , du début à la fin. Cela veut dire que le « je pense », le sujet, le cogito , n’est pas maitre de toutes ses représentations. Si il y a un inconscient Il y a quelque chose en moi qui échapperait a la conscience. Ça veut dire qu’il y a de la pensée qui échapperait à l’emprise du sujet pensant. Si cela est vrai, une partie des motivations des réaction des états dans lequel se trouve le sujet, trouverait leurs origine ailleurs que dans le sujet, ça veut dire que le sujet serait déterminé par des causes qui lui échappe. Je dis des choses sans pouvoirs imaginer la raison qui me les fait faire, et me les fait dire. L’inconscient est dans le sujet lui-même. Il doit être défendue mais par sa nature même, mais par sa nature propre échappe a