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En effet, je me suis sentie concernée car je ne suis pas quelqu’un qui rentre facilement dans les « cases » de normalité qui établissent l’ordre et la hiérarchie chez les jeunes. Après avoir mis nos histoires en commun, tous les membres du groupe se sont rendu compte qu’on avait une histoire quelque peu similaire et ainsi s’est formé notre groupe.
En premier lieu, nous avons eu du mal à trouver une problématique car le droit à la différence est une notion assez large et rassemble plusieurs généralités. Nous avons donc décidé de parler du droit à la différence dans notre lycée.
Pour se faire, nous avons fait des recherches au CDI du lycée pour maîtriser toutes les notions que nous pourrions rencontrer. Nous avons également interviewer l’assistante sociale du lycée afin de savoir si elle avait déjà eu affaire à des cas de harcèlement ou de moquerie du à une différence quelconque d’un élève.
Dans un second temps, nous avons décidé de faire circuler un sondage anonyme parmi plusieurs classes et même parmi le corps enseignant. Bien sûre, l’énorme risque du sondage était les réponses qui n’étaient pas sérieuses. Nous en avons eu plusieurs ce qui a rendu la tâche du dépouillement plus difficile. Mais ce n’est pas moi qui m’en suis occupée.
Je me suis occupée du sens un peu plus philosophique du droit à la différence. J’ai cherché dans plusieurs livres évoquant aussi bien la philosophie de la tolérance que celle de la différence, de l’indifférence et du libre arbitre entre autre. Le travail n’était pas facile du tout étant donné que la philosophie n’était pas une matière au programme de cette année. Cependant, j’ai trouvé quelques définitions et quelques citations que je trouvais