La belle haumière
François Villon, poète intimiste grandement reconnu à travers le monde entier, au XVe siècle, rédigeait dans les villes à Paris. Celui-ci, a écrit le grand chef-d’œuvre de son propre héritage intitulé : Le Testament. Il sera présenté, ici, par les vers et le choix des mots, que les regrets de la hëaumière sont charnels, que ce qu’elle regrette de la jeunesse est extrêmement lié à son corps. Le texte présentera donc, qu’elle a des remords face à son jeune temps et qu’elle juge sévèrement son visage vieilli par les années.
De plus, nous pouvons voir qu’elle juge rudement son portrait vieilli notamment dans le passage suivant : « Le front ridé […] les sourcils chus, les yeux éteints […] menton froncé, lèvres peaussues. » Chaque jour, lorsqu’elle se regarde dans le miroir, celle qu’elle aperçoit n’est plus la même qu’autrefois, cela l’emplissant d’une déception affligeante. Ce qu’elle est devenue est si loin de ce qu’était la belle hëaumière, dans le bon vieux temps, qu’elle a du mal à l’accepter. La voilà, regretter : son beau front raffiné, ses sourcils voutis, son beau nez vertical et son menton bifide. Cette énumération démontre qu’elle raffolait de son jeune visage, celui qui faisait tourner plus d’une tête. Son corps, lui a aussi fait regretter ses jeunes années puisqu’il était, à l’époque, si parfait et ne lui servait pas seulement qu’à séduire les jeunes hommes mais aussi à jouer aux jeux de l’amour. C’est pour ces raisons, qu’elle le plaint aujourd’hui. Dans le vers 519, elle parle de ses épaules toutes bossues qui étaient autrefois gentes et menues. Finalement, hëaumière préférait de loin son corps de jeune femme comparativement à celui qu’elle a de nos jours puisqu’il est maintenant devenu vieux.
Pour conclure, François Villon a voulu démontrer que la hëaumière, qui est en fait, sa mère, que ses regrets sont physiques et que ce qu’elle regrette vraiment de sa jeunesse est directement lié à son anatomie changeante au fil