La communication orale
La communication non verbale : silence, gestes, expressions faciales, vetements. Elle exprime les émotions, renforce le message lorsqu’elle est adaptée mais peut décridibiliser.
I – Les silences
Ils font partie intégrante de la communication ; ils expriment quelque chose et sont indispensables à l’écoute de l’interlocuteur. Il existe divers silences : * Personne offensée, iritée qui se contient et cherche à s’isoler * Personne attentive qui écoute son interlocuteur jusqu’au bout pour comprendre et recevoir le message. * Personne qui réfléchit, et ne veut pas laisser de place à l’impulsivité. * Personne qui s’ennuie, qui montre son indifférence * Personne qui exprime le respect * Personne qui exprime sa supériorité, son arrogance
Chaque silence doit être interprétée en fonction du contexte ; il convient de ménager certaines pauses de 10 sec max pour qu’elles soient bien interprétées.
Le fait de respirer calmement permet de réduire les tensions et de retrouver une pensée claire : de plus le temps de respiration avant la prise de parole peut éviter de bafouiller.
La vitesse à laquelle nous parlons est habituellement entre 130 et 150 mots/minute. Mais il convient de moduler son débit, ainsi pour expliquer un point important, complexe, il est conseillé de le ralentir. Alors que pour un discours descriptif il est conseillé de l’accélérer. Un débit trop lent ou trop rapide est source de déconcentration il provoque le relâchement de l’attention de l’auditoire. Aussi il faut éviter l’uniformité, la monotonie du discours et alterner des périodes rapides et des périodes lentes.
L’intonation : le ton doit être adapté à la circonstance, cependant le naturel doit être privilégié de même la variation du niveau sonore mobilisera l’attention de l’interlocuteur.
L’articulation : il est indispensable d’articuler correctement pour se faire comprendre. L’appui sur les consonnes va de donner