La paresse
Tout d’abord on va évoquer le travail esclave et le travail aliéné. Le travail esclave n’obtient aucune reconnaissance. Il n’est pas rémunéré. Il n’est pas non plus pensé. L’esclave est soumis à des ordres qu’il a l’obligation d’obéir. Dans ce cas, on peut revendiquer la paresse et refuser le travail. Seulement l’esclave n’a pas le choix entre les deux, il est forcé à travailler. L’esclavagiste ne reconnaît aucune humanité et nie toute valeur de l’Homme et de son travail. Bien que son travail soit utile. Dans le cas du travail aliéné, on ne gagne pas de reconnaissance de soi et on ne connaît pas notre propre valeur. Bien que le Soudan ait signé la convention de Genève sur l’esclavage en 1927, le travail esclave, et donc forcé, reste une triste réalité. Selon l’ONG environ quatorze milles esclaves attendent d’être libérés au Soudan. Ce nombre recouvre des hommes, des femmes et des enfants de cinq à quatorze ans. Ces chiffres montrent bien que le travail