La famille est la base de la société et assure la continuité de l'espèce humaine. Elle s'efforce d'établir une harmonie entre ses membres qui la constituent.
Or, ces rapports ne se font pas sans crise, considérée par les psychologues comme passage évident.
La famille est censée apporter au jeune la sécurité et l’affection le protégeant des dangers du monde extérieur, contre lesquels il n'est pas encore immunisé. Ses parents assurent sa sécurité, à cimenter sa personnalité et à le soutenir à affronter les épreuves de la vie. Mais cela ne saurait cacher le revers de la médaille, c'est-à-dire, les conflits, les angoisses, les incompréhensions entre les deux générations.
Les parents ne cessent de se plaindre de leurs enfants, ils les accusent d'être à l'origine des rivalités. Les jeunes à leur tour pensent que les parents sont la source de ses désaccords puisqu’ils sont dépassés, la conception qu’ils se font de la vie est révolue et la réalité actuelle est totalement différente de jadis
Les jeunes se croient aptes à gérer leur vie comme il leur convient. Ils considèrent, l'intervention de leurs parents dans le choix de leurs vêtements, de leurs ami(e)s comme une intervention dans leur vie privée et dans leur intimité.
On pense que les moyens de communication, le développement des médias... ont rendu plus rapide la maturation de ces jeunes et a accéléré leur épanouissement. Aussi sont-ils persuadés être capables de gérer leur vie sans l’aide de leurs parents dans un monde devenu complexe et dangereux.
Pourtant, il existe des parents qui se montrent très autoritaires, ignorant que le jeune traverse une étape décisive de sa vie, qu'il est en pleine mutation. Cette étape se caractérise par des transformations physiologiques et psychologiques. Les parents qui ignorent ce processus ne font que creuser davantage l'écart qui existe entre eux et leurs enfants. Cela cause sûrement des conflits de générations chroniques et profonds. Cela pourrait, sans doute, engendrer la