Le contrôle du pouvoir exécutif au Cameroun
EPLORATION CONCEPTUEL DU SUJET :
Contrôle : surveillance, vérification. Il induit l’existence des normes de référence grâce auxquelles un acte ou un comportement sera apprécié. Le contrôle suppose aussi l’existence d’organes ou d’institutions investis de cette mission, l’existence de sanction en cas de méconnaissance de dispositions de référence. Le contrôle apparait ainsi comme une opération de vérification, d’appréciation de la conformité d’un acte ou d’un comportement par rapport à une norme de référence et à l’issue de laquelle vérification il se fera à l’idée de la conformité de l’acte ou du comportement en présence par rapport à la norme de référence. Il va de soi qu’en cas de non-conformité, le vérificateur, l’organe ou l’institution qui assure le contrôle pourra éventuellement prononcer des sanctions.
Pouvoir : autorité, compétence, force. Le pouvoir suppose l’existence d’un détenteur, d’un sujet et également l’existence de personnes, à l’égard desquelles ce pouvoir s’exerce. Le pouvoir a nécessairement un fondement (coutumier, textuel) et ce fondement commande en même temps l’aménagement de ce pouvoir que son encadrement. C’est au nom du pouvoir que son détenteur pourra commander et se faire obéir. Encore, faut-il déterminer la nature du pouvoir dont il s’agit.
Pouvoir exécutif : pouvoir chargé d’appliquer les lois. Nous nous trouvons dans le cadre de la séparation des pouvoirs, laquelle postule l’existence de trois pouvoirs : un pouvoir législatif, un pouvoir exécutif et un pouvoir judiciaire.
Au Cameroun : il s’agit ici d’analyser la définition de celle-ci dans le cadre Camerounais. Alors, l’on convoquera le droit constitutionnel Camerounais dans ses énonciations textuelles comme dans son application pratique.
Est-il : tel que cela peut se vérifier
Mythe : illusion, mirage, utopie, fiction, virtualité, abstraction.
Reformulation :
Le pouvoir exécutif tel qu’il est contrôlé au