le diabète
PR.RIGALLEAU
UE 2.7.S4, 2011
V Rigalleau
• Définition, physiopathologie
La définition a été difficile à obtenir, on en dispose depuis une petite quinzaine d’année
• Hyperglycémie chronique avec risque de complications (OMS) (complications dues à la chronicité)
– > A partir de 1.26 g/L à jeun (2 prélèvements pour assurer la maladie)
-> 2g/L après 2h de la prise de glucose (pas besoin de vérification)
Effectivement à partir de ce seuil, 6 ans et demi après on remarque des anomalies capillaires au fond d’œil.
• Complications: microangiopathiques (concernant les petits capillaires), macroangiopathiques (spécifiques du diabète)
4% de la population touchée dans le monde
Environs 2,4millions de personnes concernées en France, toujours en augmentation
Dépasse 90%=DT2, autres : DT1, Diabète secondaires, Diabètes rares
Circonstances diagnostiques
1-Signes cardinaux (observables que si G>2g/L car c’est a ce stade qu’on observe du glucose dans les urines) – Polyurie
– Polydypsie
– Amaigrissement, Polyphagie
– Asthénie
2-Complications
Vasculaire Infectieuse
3-Dépistage
Dosage de glycémie sans signes spécifiques mais qui présente un terrain génétique
Glucides absorbés en 6h, il ne reste plus que des déchets dans notre bol alimentaire. Or notre organisme nécessite tout le temps de glucose. Le foie produit le glucose.
1er effet insuline : freine la production du glucose au niveau du foie
2 e effet : stimule l’utilisation du glucose au niveau de l’ensemble de cellules insulino sensibles ( =muscles et tissus adipeux) pour fabriquer de l’énergie pour le muscle ou faire des réserves pour ce qui est des tissus adipeux.
Dans les suites d’un repas le glucose arrive dpar le tube digestif ce qui va stimuler la sécrétion d’insuline freine production de glucose et faciliter son utilisation. Insuline effets hypoglycémiants qui s’exerce après les repas, elle reste nécessaire a distance des repas afin de freiner la productivité