Le pouvoirs du présidents de la république sous la veme république
Contrairement aux président de la III eme et de la IV eme république qui n'étaient, aux dires du Général De Gaulle en réaction à la crise du 1877, là que pour « inaugurer les chrysanthèmes », les pouvoirs du président de la V eme république ont considérablement évolués. Grâce à l'impulsion du général de Gaulles et au discours de Michel Debré, qui qualifiera le président de la république de « clé de voute des institutions », va entrainer une réforme totale de la fonction dans le cadre de la constitution du 4 octobre 1958.
Prob : quels sont aujourd'hui les pouvoirs du président de la république et quels sont ses limites ?
Si une part non négligeable de ses compétences découle de la III eme et IV eme république, dans un soucis de contrôle par l'intermédiaire du contre-seing (I), Ses pouvoirs propres ont considérablement augmentés, passant d'une magistrature d'influence (ou d'une fonction représentative) de chef de l'exécutif.
La dépendance du président de la république au contreseing L'origine du mécanisme du contre-seing : origine crise du 16 mai 1877 qui oppose le général de Mac Mahon à la chambre des débuté, octroyant au président son premier pouvoir matérialisé par le contreseing, en opposition avec l'interprétation républicaine d'un gouvernement ne répondant que devant le parlement. Depuis 1958, le contre seing est appliqué également au président et formulé dans l'article 19 de la constitution : les actes du président sont contresignés par le premier ministre et le cas échéant, par le ministre éventuellement responsable. Le contreseing, un mécanisme conjoint, gage de tempérance : cf tous les pouvoirs partagés (6) article 8 président nomme membre du gouvernement sur proposition du 1er ministre (période de concordance, le président choisi Mauroy / Mitterrand 1981, période de cohabitation : un réel compromis doit s'établir (Mitterrand / Chirac avec Léotard). + pouvoir