Le survenant de germaine guèvremont
Argument principal 1
Malgré le bonheur évident qu'il semble retirer de sa vie de nomade, le Survenant est tout aussi heureux lorsqu'il s'adonne à des tâches plus typiques des gens sédentaires.
Il se plaît dans le travail de la terre
Il aime s'adonner à la menuiserie (fabrication d'un canot, de meubles, réparation de meubles)
Il développe une relation privilégiée avec Angélina Desmarais.
Argument principal 2
Dans le roman Le Survenant, le bonheur peut être atteint lorsque l'on accepte de dépasser ses craintes et ses limites pour aller au bout de soi et se réaliser dans la vie que l'on a choisie, qu'elle soit sédentaire ou nomade.
Marie-Amanda Beauchemin représente l'archétype sédentaire presque parfait de cette vie épanouie apportant le bonheur
Le père Didace est celui qui prend conscience de ses peurs et de ses limites et fait le choix de se prendre en main et de les dépasser.
Amable, quant à lui, se retrouve à l'opposé de son père. Totalement englué dans ses préjugés, ses critiques, sa jalousie et son négativisme, il refuse catégoriquement de changer quoi que ce soit, considérant sa situation actuelle comme étant la bonne.
Étape 2 : Rédaction
Le roman Le Survenant présente aussi la vie sédentaire comme chemin vers le bonheur. En fait, qu'on soit nomade ou sédentaire, c'est de vivre pleinement sa vie en dépassant sans cesse ses peurs et ses limites qui peut conduire au bonheur. Marie-Amanda est l'archétype de ce bonheur obtenu à travers le quotidien de la vie sédentaire. À son arrivée chez son père, pour la préparation de la fête de Noël, « elle s'[s'est avancée], grande et forte, le regard franc, reposante de santé et de sérénité, vers la maison paternelle » (p. 83). Les qualificatifs utilisés pour la décrire font immédiatement naître l'image d'une femme épanouie, heureuse et solide, sur laquelle on peut s'appuyer et qui ne recule devant rien. Le père Didace, quant à lui, est celui qui accepte