Le Vilain Mire
La ruse.
Réalisé par
Angelo Brown
Présenté à Richard St-Germain
Dans le cadre du cours Écriture et Littérature
Groupe : Jeudi.
Dans le vilain mire, l’histoire se passe à l’époque chevaleresque du 13e siècle. On peut bien voir que c’est une littérature satirique grâce aux moqueries et l’esprit populaire qui s’exprime. Ce type de littérature très plaisante dénonce en partie le mensonge, la violence, l’ingratitude et l’hypocrisie. Dans le texte suivant, j’expliquerai pourquoi la ruse dans ce fabliau joue un rôle de moteur de l’action et un rôle de vision du monde.
Premièrement, je considère que la ruse est le moteur de l’action parce qu’elle permet l’enchaînement logique du texte de cause à effet du récit. On constatera aussi que pratiquement toutes les actions du vilain et de sa femme sont des ruses. Par exemple, pour se venger de son mari qui la bat, la dame dit aux messagers du roi qui sont chez elle et qui cherchent un médecin pour guérir la fille du roi que son mari est très bon pour guérir les gens. De cette manière, son mari quitte la maison avec ces derniers et elle réussit à se défaire des contraintes par la ruse. Cela entrainera la suite des évènements et beaucoup d’autres péripéties qui démontreront que la ruse est utilisée comme moteur de l’action.
Ensuite, la ruse joue aussi un rôle de vision du monde. Elle fait en sorte que l’histoire se transforme et que les gens changent à cause d'elle. Comme dans la procédure de guérison des malades, le vilain prend la décision de dire à ces derniers qu’il prendra le plus malade, le mettra dans le feu. Qu’ensuite, avec ses cendres, il les fera avaler aux autres et ils seront tous enfin guéris. Évidemment, sans reculer d’un pas, tous les malades ont dit qu’ils se sentaient beaucoup mieux et qu’ils ne s’étaient jamais sentis aussi bien. On peut voir qu’il s’en sort de sa situation en utilisant la ruse comme moyen de se défaire des malades et surtout du sort que le roi lui