Leadership
Nous voulions vous présenter cette vidéo pour démontrer qu’au courant du dernier siècle le management a connu une grande évolution. Le rôle du gestionnaire et le rapport de force qu’il existait entre lui et les travailleurs s’est heurté à l’évolution des mentalités.
Autrefois autoritaire et directif, le dirigeant à du développer au fil des décennies des compétences interpersonnelles (soft skills) pour assurer la cohésion de son équipe et le succès des opérations.
Au Canada, le premier exemple utilisé pour parler de gestion de projet est souvent le chemin de fer qui relie Vancouver à Montréal, le Canadien Pacific, qui a été construit entre 1881 et 1885.
Brusquement, les chefs d’entreprise se sont trouvés face à la tâche impressionnante d’organiser le travail manuel de milliers de travailleurs, ainsi que le traitement et l’assemblage de quantités sans précédent de matières premières.
Toutefois, la gestion de projet, dans sa forme moderne, n’a commencé à prendre racine que depuis quelques dizaines d’années soit à partir du début des années 1960. Les entreprises ont alors commencé à réaliser l’utilité d’organiser le travail en projets. Cette vision de l’organisation axée sur les projets s’est amplifiée lorsque les organisations ont commencé à prendre conscience de la nécessité essentielle pour leurs employés de communiquer et de collaborer dans un contexte professionnel impliquant plusieurs services et professions et, dans certains cas, l’ensemble des secteurs industriels.
La gestion de projets a obligé une réforme de la relation hiérarchique qui existait entre les dirigeants et les travailleurs. La principale raison est l’importance du rôle et des responsabilités de l’équipe dans un contexte de gestion de projets. Comme nous avons pu l’entendre dans les présentations de nos collègues la semaine dernière, l’importance de l’équipe et de la communication n’est plus à prouver.
Le gestionnaire ne peut plus crier, ordonner mais