Lecture linéaire d'un extrait de l'auteur tragique
Plus la quête de la recherche avance et plus Jeanne se rapproche de sa mère , et donc de son traumatisme . Nous sommes confrontés à deux personnages opposés , un en quête de la vérité , l’autre qui la détient , un jeune et l’autre plutôt vieux . Il y a donc d’emblée un quiproquo et le concierge fait par de la vérité avec transparence , des dizaines d’années après l’événement qui a donné naissance à son interlocutrice . Chaque scène est finement confectionnée , il n’a rien laissé au hasard et tous les morceaux du puzzle s’assemblent peu à peu, jusqu’à révéler une vérité insupportable et incestueuse. « Incendies » retrouve …afficher plus de contenu…
( emploi d’une conjonction de coordination qui a valeur d’opposition) Au moment ou il abandonne ces deux enfants , des chants lui parviennent pour l’en dissuader finalement donc ceci aussi est peut-être l’œuvre du divin. La logique revient car on peut observer une conjonction de coordination , c’est à partir de là que l’auteur va commencer à utiliser la polysyndète et une anaphore. Ce sont les chants que le concierge a entendu vont lui faire regretter son geste , il retrouve petit à petit son humanité grâce à ces sons ( référence à l’art ) : (l.31-35) « Alors je me suis arrêté , ma conscience était froide et noire comme la nuit. » Il n’a pas eu de la pitié mais bien de l’admiration et ce sentiment qu’éprouve le concierge participe avec la terreur au