Tableau 1: Tableau de compilation des données de différents paramètres tirés de Web Human, dont l’activité du système nerveux sympathique, le débit cardiaque, la PCO2 artérielle, le flux sanguin dans les muscles squelettiques, le débit respiratoire et le flux sanguin aux viscères abdominales d’un cobaye virtuel au repos, en exercice puis en récupération.

Figure 1: Graphique des données de différents paramètres tirés de Web Human, dont l’activité du système nerveux sympathique, le débit cardiaque, la PCO2 artérielle, le flux sanguin dans les muscles squelettiques, le débit respiratoire et le flux sanguin aux viscères abdominales d’un cobaye virtuel au repos, en exercice puis en récupération.
Analyse :
SYMPNA : Au début de son exercice (T0), son S.N. sympathique était à sa valeur normale de 1,001 alors qu’à la fin de son exercice de 10 minutes (T10), son S.N. sympathique était 1,880 fois plus stimulé et actif. À la fin de sa récupération de 10 minutes après son exercice (T20), son S.N. sympathique est revenu près de sa valeur normale. Il était en effet 1,154 fois plus élevé, ce qui est relativement peu élevé.
COL : Le débit cardiaque augmente entre le début de l’exercice (T0), alors que son débit cardiaque était de 5,425 L/min, et la fin de son exercice de 10 minutes (T10), alors qu’il avait un DC de 12,22L/min. À la fin de sa récupération de 10 minutes après son exercice (T20), son débit cardiaque était revenu près des valeurs normales de 5,428 L/minute.
VENT : Au début de son exercice (T0), son débit respiratoire était de 5,673 L/min alors qu’à la fin de son exercice de 10 minutes (T10), il avait une ventilation minute de 19,39. À la fin de sa récupération de 10 minutes après son exercice (T20), son débit respiratoire était revenu près des valeurs normales de 6,748 L/minute.
PCO2 : Avant l’exercice, la PCO2 dans les artères était de 38,27 mmHg alors qu’à la fin de l’exercice (T10), la pression artérielle de CO2 était de 38,36 mmHg. À la