Liberté, egalité, fraternité

2242 mots 9 pages
Mes F. j’ai eu envie ce midi de vous parler de la fameuse devise symbole de la révolution française de 1789 et que nous avons fait nôtre depuis.
Liberté, Egalité, Fraternité. C’est suite à une discussion sur la liberté, la manière dont nous la vivons et l’assumons que m’est venue l’envie de plancher sur ce thème.

Parler de la liberté, comme seul concept, me paraissait plus vaste que d’y adjoindre l’égalité et la fraternité.
Après un bref historique su la naissance de la devise, j’expliciterai comment les FM que nous sommes faisons vivre cette devise dans notre organisation et nos travaux, selon moi. Je m’appliquerai à analyser l’intensité des trois flammes de ce chandelier, bien de l’Humanité, dans la vie profane.

La devise Liberté, Egalité, Fraternité est issue de la révolution française et apparaît dans le débat public avant la proclamation de la Première République, dès 1790.
Ces trois mots étaient beaucoup usités au XVIII siècle dans les sociétés de pensée parmi tant d’autres comme Amitié, Charité, Sincérité, Union.

Les maçons parlaient beaucoup surtout d’Egalité, un peu moins de Fraternité et montraient plus de tiédeur à la Liberté, et une franche indifférence à l’arrangement : Liberté – Egalité - Fraternité. Salut – Force – Union avait plus la côte à l’époque.

Certains historiens pensent que la devise a pris naissance en trois mouvements correspondant à une époque distincte du processus révolutionnaire. Elle commencé avec la Liberté, concept très populaire dès les premiers jours de la révolution, puis est venu le temps de l’Egalité. Il faudra attendre un peu plus longtemps pour voir émerger la Fraternité qui trouve ses origines dans la maçonnerie

Le premier à avoir formulé cette devise semble être Robespierre dans ces premiers discours en 1790.
Jean-Nicolas Pache (maire de la commune de Paris) fait peindre sur les murs, en juin 1793, la formule ; La République une et indivisible – Liberté – Egalité – Fraternité.

La devise va connaître

en relation

  • Les etats généraux du clergé français
    3131 mots | 13 pages
  • HDA la marseillaise
    1408 mots | 6 pages
  • Graccus babeuf
    644 mots | 3 pages
  • Beethoven et son époque
    3387 mots | 14 pages
  • Symbole républicain
    301 mots | 2 pages
  • Commentaire: texte de alexis de tocqueville, extrait de «l’ancien régime et la révolution»
    2504 mots | 11 pages
  • en quoi peut on dire que beaumarchais est un homme des lumières ?
    519 mots | 3 pages
  • Contre Exposé sur Vichy à part
    294 mots | 2 pages
  • Amerique-europe
    460 mots | 2 pages
  • 3 L Tat
    16977 mots | 68 pages
  • Liberté, égalité, fraternité
    5479 mots | 22 pages
  • La séparation des pouvoirs sous le directoire
    465 mots | 2 pages
  • Histoire
    1101 mots | 5 pages
  • « Il n'y a pas d'exemple d'une révolution qui n'ait fini par accroître le pouvoir de l'etat » lénine
    2501 mots | 11 pages
  • « Si l’état est fort, il nous écrase ; si l’état est faible, nous périssons ».
    993 mots | 4 pages