Maladies sexuellement transmissible(ist)

434 mots 2 pages

Travail documentaire sur les IST

Définition générale d'une IST

Une infection sexuellement transmissible, ou IST,se transmet lors de rapports sexuels d'un individu porteur de l'infection vers l'individu sain. Il peut s'agir de virus ou de bactéries. Toutefois, le risque d'infection peut être réduit par l'utilisation de préservatifs masculins ou féminins.
Le terme IST est a peu à peu remplacé par le terme MST (maladie sexuellement transmissible).

Présentation d'une IST provoquée par un virus
1° Présentation de l'agent virale à l'origine de l'IST

Hépatite B Virus de l'hépatite B (VHB) observé en microscopie électronique.Virus enveloppé à l' ADN. Particules de Dane complètes, sphérules de 20 nanomètres dediamètre, et tubules ou filaments de taille variable (jusqu'à 200 nanomètres) qui sont desformes défectives du virus retrouvées dans le sang. Image colorisée. Lieu de pétration ou contamination La transmission de l'hépatite B s'éffectue par contact direct entre le sang et deux personnes ou par contact avec du sperme ou des sécrétions vaginales d'une personne infectée. L'hépatite B est une infection qui touche le foie.

2° Les symptômes de l'IST présentée

Définition générale d'un symptôme ,lié à une maladie et de la période d'incubation

Un symptôme est un signe, un trouble ressenti (douleur) permettant de révélé la présence de la maladie. Il peut s'agir d'un signe observé par le medcin lors de l'examen clinique (raideur de la nuque, une absence de réflexion....) La période d'incubation est la période ou le virus est présent chez un individu mais ne provoque pas encore de symptôme de la maladie. 70% des personnes atteintes de l'hépatite B ne ressente aucun symptôme et les 30% sont atteints d'ictère, de fièvre,d'une perte d'apétit,de nausées et de vaumissements.

3° L'hépatite B n'est pas traité dans tous les cas car certaines personnes guérissent naturellement, un traitement peut être proposé pour

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Étude monographique auprès de patients touchés par le virus de l’hépatite C Lindinalva Laurindo da Silva Janvier 2007 ANGREHC 29 rue Didot – 75014 Paris Tél. : 01 45 43 52 84 - Mail : angrehc@wanadoo.fr INTRODUCTION Ce rapport présente les résultats d’une étude monographique menée auprès de patients atteints de l’hépatite C. Il s’inscrit dans le cadre du projet de Centres régionaux de ressources pour l’hépatite C, réalisé par l’Association nationale des généralistes pour la réflexion et l’étude sur l’hépatite C (ANGREHC). Son objectif est de mieux cerner la réalité sociale et sanitaire des personnes atteintes par le VHC, ainsi que leur accès au système de soins, afin de mieux connaître les facteurs facilitant ou freinant l’entrée ou la poursuite du traitement de l’hépatite. L’HÉPATITE C EN TANT QUE MALADIE CHRONIQUE L'hépatite C est une infection contagieuse transmise, essentiellement, par voie parentérale. Le virus du VHC a été découvert en 1989 et des tests de dépistage des anticorps antiVHC ont été mis à disposition en 1990.….

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Le deuxième problème fut que nous connaissions très mal (moi en particulier pas du tout) le VIH et son fonctionnement .11 a donc fallut se documenter grâce à Internet et au CDI pour pouvoir traiter ce sujet en toute connaissance de cause (en effet, il aurait été dommage de donner des noms d’inhibiteurs d’entrée du VIH alors que nous ne savions même pas comment le virus entrait dans la cellule. De plus, c’est très difficile de choisir une problématique précise sur un sujet que l’on ne connaît pas). Tout se serait arrangé si notre sujet avait eu des réponses précises.….

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Précautions « standard » et complémentaires Anne Claire GUILLE DES BUTTES Cadre supérieur de santé , Unité de gestion du risque Infectieux Service bactériologie-hygiène CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 1 Précautions standard • Adaptées suivant la circulaire DGS/DHN°98/249 du 20 avril 1998 relative à la prévention de la transmission d’agents infectieux véhiculés par le sang ou les liquides biologiques • Remplace celle de 1989 relative aux précautions universelles qui concernait uniquement le sang 2 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 2 Précautions « standard » • Assurer une protection systématique des patients et des personnels • Eviter la transmission croisée des microorganismes • De patient à patient • De patient à soignant • De soignant à patient • De soignant à soignant • Réglementaire • Circulaire de 1998 relative à la prévention de la transmission d’agents infectieux véhiculés par le sang ou les liquides biologiques lors des soins • Précautions à appliquer • Quel que soit le statut infectieux du patient : connu ou inconnu • Lors de tout risque de contact • Avec le sang (AES)….

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