Management productif
La richesse se comprend d’abord comme une augmentation soutenue de la production industrielle (PIB). Or la richesse monétaire ne peut être le seul guide des politiques publiques puisqu’elle ne rend pas suffisamment compte des répercussions sur la société et sur la planète.
La recherche d’une performance économique ne doit-elle pas s’accompagner d’une croissance verte et d’une responsabilisation des entreprises sur le respect de la planète afin d’assurer un développement durable ?
Pour cela, il est nécessaire pour l’Etat de mettre en place une économie sociale et respectueuse de l’environnement. Et de responsabiliser les marchés sur leurs impactent environnementaux.
I- Le rôle de l’état pour une économie sociale et respectueuse de l’environnement.
La dégradation de l’environnement appel à différentes actions. A travers la mise en place de politique incitative visant à présenter l’innovation comme moteur d’une croissance verte l’Etat va orienter l’économie vers un modèle plus respectueux.
De plus, la mise en place d’une économie sociale et respectueuse de l’environnement passe par une allocation efficace des ressources rares dans une économie de marché. Mais aussi par l’instauration de droits de propriété échangeables entre pollueurs et pollués afin de résoudre le problème de l’internationalisons des couts sociaux
Le concept de richesse n’est plus qu’une approche productiviste mais une approche qualitatif, sociale, écologique et culturelle. Face à cette nouvelle approche de nouveaux indicateurs de richesse semblent nécessaires afin de répondre aux limites du PIB comme l’IDH, il dépasse la démarche quantitative et économique du PIB. Il est basé sur trois critères social, culturel et économique. Ou l’utilisation d’autres indicateurs de soutenabilité plus représentatif de l’impacte de la croissance sur