Un sociologue contemporain écrit “ La publicité est l’ultime violence du monde moderne en ce qu’elle porte à désirer l’indésirable “

Une activité comme la publicité, ayant pour objet de faire connaître une marque, d’inciter le public à acheter un produit ou à utiliser un service, est toujours existée dans les lois des phénomènes sociaux. C’est en particulier l’attitude du temps actuel à se rapporter à une puissance brutale du langage publicitaire, de sorte qu’il “ porte à désirer l’indésirable”.
Avant d’aborder résolument notre thèse; il convient de souligner l’importance significative du mot “ désir “ par rapport au mot “ besoin “. Le besoin est ce qui est nécessaire ou indispensable pour vivre alors que le désir est souhaiter la possession ou la réalisation de quelque chose. Par conséquent quand un client d’un supermarché s’approche à acheter un bien économique est-qu’il devrait le placer dans sa liste de besoins ou de désirs? C’est pourquoi il est legitime de se demander comme l’insistance publicitaire soit devenue de plus en plus une machine capable de manipuler l’esprit mental de l’homme à désirer ce qui va au-delà du nécessaire. Et, d’autre part, ceux qui pensent qu’il s’agit, au contraire, d’une situation proprement commercial, et donc pas un danger du monde moderne.

La publicité est un processus de communication très vaste. On la retrouve à travers les affiches; la télévision, internet, la radio, mais dans encore beaucoup d’autres moyens.. Elle occupe une place importante dans notre vie. Déjà pendant la Révolution Industrielle, commencée en Grande Bretagne au XVIIIème siècle jusqu’à au début du XIXème siécle, elle sera utilisée dans la lithographie et dans le monde de la presse. Dès maintenant à l’époque nous pourrions dire qu’elle commencera à transformer certains biens et services économiques comme quelque chose de désirable, en provoquant une forte impact sur la societé. C’est le cas des affiches publicitaires parisiennes dont les imprimeurs