Philo
Louis Leclere
I. Généralités A.Définition
Argumentation précise en vue de la résolution d’un problème préalablement déterminé. Ce n’est ni un essai libre, ni un exposé qui vise la démonstration d’un savoir.
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La réflexion, c’est un choix libre de chaque individu. La réflexion ne s’apprend pas parce qu’il n’y pas de moyen/ de méthode quand a la bonne façon de réfléchir. D’où une réflexion en acte, mais ce n’est pas un modèle à suivre, c’est juste un exemple. La démarche est la plus importante. La philosophie, contrairement aux autres sciences, ne fonctionne pas sur une vérité ou sur une erreur, car nous sommes notés sur la démarche, et non sur le contenu. Nous ne sommes pas sur le registre vrai/faux. En philosophie, il y a le registre de l’intelligence et ce lui de la bêtise. D’où il ne faut pas créer de faux semblant/faire semblant de réfléchir, pour réussir/créer une bonne copie, il faut oser prendre des risques. Mais il se doit aussi d’avoir une démarche de réflexion. L’argumentation se doit aussi d’être approfondie, tout en étant aisément compréhensible.
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Dans l’année, le professeur de philosophie « n’apporte pas » en soit de contenu, mais il fournit la démarche, un type de réflexion.
B.Conseils formels
On constate à l’heure actuelle une spécialisation du savoir, à quatorze ans, on nous demande de se déterminer sur nos quarante années futures et cela plus la société évolue. L’objectif est d’atteindre un savoir absolu dans une case microbienne. Ce qui explique que la société a de plus en plus de mal à communiquer, malgré les moyens de communication de plus en plus nombreux, (par un manque d’explication et de précision dans les propos, dans le but de gagner en temps.) Il faut finalement essayer de retrouver une communication performante. D’un point de vue linguistique, nous avons énormément régressé. Aujourd’hui, la technologie a permis le développement de nouveaux moyens de communications, qui apportent de nombreux intérêts.