Philo

1038 mots 5 pages
John Stuart Mill

Intro :

Philosophe et écrivain anglais, fils d'un philosophe, historien, économiste James Mill, John Stuart Mill est devenu un des plus grands penseurs du libéralisme. Il défend la morale téléologique précisément l'utilitarisme, il se base donc sur les conséquences et non sur les moyens.
Très tôt, il s'associe au travaux de l'école du philosophe Jeremy Bentham. En effet, en matière morale, Mill adapte l'utilitarisme de Bentham dont il perçoit les limites.
Il fonde le devoir sur la recherche du bonheur général et l'étend au domaine du droit et de la politique. Il met plus l'accent que Bentham sur l'aspect qualitatif du bohneur et prend davantage en compte l'écart qui existe entre le bonheur individuel et le bonheur public.
Le but de l'Humanité est de réduire cet écart, tant que cet écart existe le bien d'autrui doit l'emporter sur le bonheur personnel. On oppose ainsi l'utilitarisme altruiste de Mill à l'utilitarisme égoïste de Bentham.

Pour commencer, la morale téléologique est relative à l'eudémonisme. Cette doctrine recherche le bonheur. L'utilitarisme fait partie de l'eudémonisme. Il est lui-même divisé en 2 : bonheur personnel, Mill et bonheur public, Bentham (schéma). → exemple mandarine

« Pour prouver qu'une chose est bonne, il faut nécessairement montrer que cette chose est le moyen d'en atteindre une autre dont on admet sans preuve qu'elle est bonne. »
→ Pour qu'une chose soit bonne, il faut qu'elle engendre en tant que moyen, une finalité admise bonne sans être prouvée. Ex : art médical, art musical.

Cette formule peut être soit acceptée ou refusée, la finalité bonne ou pas étant subjective.
Elle dépend soit d'une tendance aveugle ou choix aribitraire.

Tendance aveugle → Nous pensons que, la finalité étant subjective, dans une société, certains individus n'ayant pas d'opinion vont suivre l'avis de de certains.
Choix arbitraire → choix personnel

Si tu trouves une preuve que la finalité est bonne, ça veut dire que tu refuses la

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