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philosophie le corps

513 mots 3 pages
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Le corps prend le dessus sur l’esprit par sa présence face aux autres. Le premier contact et la première vision qu’on a d’une personne est son corps. Son corps, son apparence, ce qu’il reflète. La suite d’un échange avec quelqu’un, se base trop souvent sur la simple reflexion de l’image de son corps.
Cette enveloppe qui nous entourent peut freiner beaucoup d’envies. Comme un poids qu’on tirait tous les jours et empêcherait d’avancer. Une simple gêne physique peut avoir des conséquences, pour exprimer ce que notre esprit pense. Le mirroir est le reflet de tous ce qu’on ne voudrait pas être.
C’est pour cela que les corps se recouvrent de parrures, notamment le maquillage. Une tricherie nécéssaire pour se sentir d’avantage en confiance. Les vêtements sont des parrures permettant de cacher le corps ou de le mettre en évidence. Le corps est un terrain de jeu, offrant les possibilités de le dissimuer ou de le dévoiler.
Les tataouages, les peintures corporelle, donne au corps une dimension sacré, une importance du corps. Ils exprimes des croyances, des cultes, qui mettent le corps sur un pied d’estale d’avantage que l’esprit. Le corps est une identité qui dévoile au yeux de tous des sacrifices souvent religieux et est le mirroir de leur force d’esprit. Ce langage par les peinture, permmettent une comunication avec la divinité et d’introduire un espace qui n’est pas défini.
Le tatouage peut être autrement une parrure séduisante pour autrui. Il peut totalement recouvrir le corps et trompe la vision de celui ci et engendre le paradoxe visible/invisible. Les contour serait présent mais la surface recouverte. Le corps, notre corps, nous ne le connaisons pas dans sa totalité. Seul le mirroir nous apporte des informations sur le dos de notre corps. Obligé de se tordre pour deviner les formes qui nous constituent,au dos de notre vision. Cette partie nous est invisible mais visible pour autrui. Atteindre par le toucher la totalité de notre corps nous est impossible. La

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  • Tpe gina pane
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    Introduction : Le corps a un rôle évident dans la communication, c’est de lui que proviennent tous les signaux du langage, comme le geste et la parole. Comme la limite est imprécise entre la communication et l’art, le corps devient alors très tôt une œuvre d’art éventuelle. L’art corporel ou Body Art s’inscrit dans le contexte des années soixante-dix, il apparait tout d’abord en Amérique. Il consiste à mettre le corps au centre de l’œuvre, c'est-à-dire que l'artiste prend pour matériau son propre corps, celui-ci peut ainsi devenir objet ou sujet d'art à travers différents moyens d’expression comme la photographie, la performance ... Les artistes de l’art corporel agissent d’avantages par des actions artistiques et politiques que dans la recherche du beau.….

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    Nous sommes des êtres corporels, incarnés, ce qui ne signifie nullement que nous nous réduisions au corps. Il est toutefois difficile de concevoir notre existence sans ce rapport étroit d'habitation corporelle et d'habitation du corps, à tel point que les êtres dépourvus de corps appartiennent de facto au non-humain : fantômes, anges, esprits, dieux… Dans la structuration d'un être, le corps assume un rôle d'écrin, et non d'écran. L'identité se structure concrètement, dans l'entrelacement sensorimoteur avec le monde, avec les figures maternelles en particulier dans les débuts de la vie. C'est bien par l'expérience sensible et motrice que le bébé s'éprouve un, limité, se dote d'un point de vue, de sentir, d'entendre, qu'il instaure sa tonicité, c'est à dire qu'il apprend à répondre à la pression environnante.….

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    Le corps dans les sociétés occidentales (1918-1990) Le corps est la partie physique, apparente d’un individu. Il lui permet de percevoir, d’être perçu et d’interagir avec le monde qui l’entoure. Il est unique et constitue une part de l’identité (reconnaissance entre particuliers mais aussi pour la société : photo sur la carte d’identité).….

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    Ainsi, le corps à corps avec le désir, l’archaïsme, source inépuisable de création, s’accompagne d’un travail de modelage du matériau, de sa mise en forme, de sa symbolisation, qui vise à représenter, par l’intermédiaire que constitue l’œuvre, le monde des sensations, l’expérience primaire, le noyau maternel. A représenter la relation au corps, mais avec une coupure avec lui. Donc, la création artistique en mettant en jeu le sensoriel et le signifiant, le corps et le penser, le maternel et sa rupture définit par-là même la notion de manque, de castration. Et grâce à la création, l’artiste parvient, par le truchement de l’acte créateur, à combler son manque de façon autonome.….

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    Ils eurent faim. Puis ils s’endormirent. S’éveillèrent corps à corps, se dévorèrent encore, soir et matin, dans l’ombre accueillante du jardin. Elle était si belle qu’il serait mort de la regarder, elle le trouvait si doux qu’elle ne le laissait pas la regarder trop longtemps.….

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