Probleme de la langue au quebec
Le problème de la langue est d’importance primordiale au Québec.
Tout d’abord, Il faut dire en 1960 les rapports du français québécois avec le français de Paris ont connu une période de crise, on parle de la querelle du « Jouals ». Cette crise commençait lorsque les écrivains ont voulu utiliser le parler des classes populaires de Montréal comme un moyen littéraire. Gaston Miron, Poète engagé à dénoncer la non autonomie de langue en ces termes : […] une œuvre si géniale soit elle, ou un ensemble d’œuvres qui relèvent de critères esthétiques et ou viennent se greffer des structures de la langue littéraire ne sauraient être la langue commune. I l y a présentement un mouvement qui fait d’un corpus d’œuvres une proposition de la langue, qui nous dit que c’est comme ça qu’on parle ». Cette attitude est complément absurde du point de vue linguistique Gaston Miron a fortement conscience que le français est menacé de détérioration, il parle d’aliénation, de dépossession et d’humiliation du français au Québec. De plus Miron parle des points anglicismes retrouvées dans cette langue il parle d’aliénation linguistique ex : « Go on the Green / Partez au vert ne dépassez pas quand arrête.
En effet ce problème concerne surtout la qualité de la langue et le danger d’assimilation. La qualité de la langue a toujours été au cœur des préoccupations québécoises. D’abord il faut s’assurer du statut du français au Québec, beaucoup d’effort sont déployés en ce sens. Un bilan de la situation de la langue française effectue met en relief les progrès immenses qui ont été accomplis depuis vingt ans en vue de réaliser ce grand projet maintenant on peut dire que les francophones ont maintenant pris leur place sur le marche et les problèmes salariales liées à la langue ont disparu, l’accueil et les services sont presque partout assurés et enfin, le français est prédominant dans l’affichage à Montréal, mais il y a