Schizophrénie
24 Janvier 2013
Introduction à la psychopathologie de l’adulte
Introduction
A ne pas faire : ← Psychopathologiser pour tout & n’importe quoi ← Normaliser, Banaliser la psychopathologie
On doit prendre de la distance pour pouvoir discuter avec l’autre & poser les bonnes questions.
Le diagnostic est un point de départ pas une étiquette ; se qui va être important c’est la suite, le traitement le plus adapté.
La finalité est la prise en charge du patient en souffrance.
Quand on parle de psychopathologie on parle de normal et de pathologie ainsi on soulève des questions approfondies : ← Qu’est-ce que le normal ? ← Qu’est-ce que le pathologique ? ← Est-ce un trouble mental ?
Dans la continuité on peut se demander sur quelle base on décide qu’une personne présente une psychopathologie. La psychopathologie soulève souvent des questions de type déontologique, épistémologique, que le psychologue clinicien doit accepter de poser, elles doivent permettre d’intervenir auprès d’un sujet en souffrance cette vulnérabilité nécessite des garanties & des précautions déontologiques.
Si l’on veut distinguer une discipline d’une autre, on doit utiliser un certain nombre de paramètres : ← Objet ← Méthode ← Domaine d’application
Lorsque l’on s’intéresse à ces 3 domaines, difficultés :
Les auteurs sont partagés.
Il est difficile de distinguer la psychopathologie de la psychologie clinique & de la psychiatrie.
L’objet de la psychopathologie se sont les troubles mentaux ou encore les maladies mentales ou encore les dysfonctionnements mentaux, la psychologie des conduites pathologiques.
Samacher & al (2005) considère que l’objet de la pathologie se réfère à la souffrance mentale. La psychopathologie va également envisager les phénomènes de l’activité psychique dite morbide (=état de maladie) plus ou moins