La scénographie de l'exposition est elle remis en question à cause de ses films ?

La Subversion des images surréalisme, photographie, film

L'exposition s'organise selon un angle thématique quexplore en 9 salles les multiples façons avec lesquelles les artistes surréalistes explorent les possibilités techniques et esthétiques de la photographie, des photomatons ou portraits, aux images mises en scènes, retouchées, découpées, collées, déformées, colorées etc. Une petite série de films et de courts-métrages réalisés par des artistes surréalistes (souvent aussi photographes), comme Luís Buñuel, Man Ray ou Germaine Dulac, complète le discours sur la subverson de la réalité.
Nous sont révélés à la fois la créativité des artistes surréalistes, leur humour, leur plaisir de jouer avec les images, et les nombreux usages de ces épreuves : publications dans les revues ou les livres d'artistes, publicités, collections d'images, fascination pour le document brut, photomatons, photographies de groupe.

Chose promise, chose due : on nous avait annoncé les productions photographiques et cinématographiques des artistes surréalistes, elles sont bien là. Enormément de photos et 4 films.
Côté photos, la qualité et la quantité est là. Quant à la logique de leur présentation, ça reste à voir. L'exposition commence par nous montrer des photos de groupes qui n'ont d'autre intérêt que de nous montrer les visages de quelques artistes surréalistes et leur gouts pour le jeu et l'humour, de montrer leur appartenance a un groupe. Quand on sait que le thème de cette première salle est L'action collective, on remet en cause la pertinence du choix des oeuvres exposées même si elle apporte une impression de cohésion au sein du groupe des surréalistes et de plaisir du travail collectif. Ses photos on a mon gouts un intéret collectif dans le sens ou plus que de chercher a définir le mouvement , elle veut montrer ses membres et leur gout du travail collectif. Ensuite, on a droit à la