Selon Spinoza : « Chaque chose, autant qu’il en est en elle, s’efforce de persévérer dans son être. (p.142) l’Ame est celle qui a les idées claires et distinctes avec le Corps sont une seule et même et choses. Lorsqu’on parle de l’Ame seule, elle est appelée Volonté, mais lorsqu’on parle de l’Ame et du Corps, ceux-ci ont appelé l’appétit qui n’est rien d’autre que l’essence de l’homme. Sans oublier bien sûr qu’il n’y a aucune différence entre l’Appétit et le Désir. L’homme a une nature appétitive donc les Désirs, ceci est la vraie nature de l’homme. Il démontre ainsi trois affections primitives. Tout d’abord, le Désir qui vient avant toute chose ensuite sur une deuxième branche il y a la joie et sur une troisième branche la tristesse. Spinoza nous laisse très bien comprendre que Dieu est à l’intérieur de tout ce qui est, il est aussi la cause toutes choses, tout est grâce à lui. Tel que Spinoza l’explique : « enfin que tout a été prédéterminé par Dieu, non certes par la liberté de la volonté, autrement dit par un bon plaisir absolu, mais par la nature absolue de Dieu, c’est-à-dire sa puissance infinie.» p.61 Il ajoute ainsi : « Il est impossible que l’homme ne soit pas une partie de la Nature… La puissance par laquelle les choses sont singulières et conséquemment l’homme conserve leur être est la puissance même de Dieu ou de la Nature.» (p.224)
Le principal préjugé comme Spinoza le démontre : « Dieu a tout fait en vue de l’homme et qu’il a fait l’homme pour que l’homme lui rendît culte.» p.61 C’est ce seul principal préjugé que Spinoza considère pour les causes. De plus, ce préjugé est faux puisque comme Spinoza l’explique dans la première partie : « la Nature n’a aucune fin à elle prescrite et que toutes les causes finales ne sont rien que des fictions des hommes.» p.63 Ils ne considèrent que les choses existante dans la nature à leur usage