socrate et les sophistes ( par Virginie Martel)
940 mots
4 pages
Dans notre société, nous suivons tous les mêmes règles, les mêmes lois… mais Quesque sont ses lois? Une loi est quelque chose qui est obligatoire, pour lesquelles nous pouvons avoir une conséquence négative si nous ne la suivons pas. Une loi nous dit quoi, ou quoi ne pas, faire. Il nous dicte ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Les lois sont choisies par le Parlement par opposition au "règlement" qui est choisi par la communauté. La plus part du temps, ces lois sont, selon moi, justes. Elles nous protègent, mais les autres sophistes s’opposent à nos raisons d’obéir à ces lois, ils s’opposent aux conceptions de l’Athénien moyen. Ils s’opposent surtout à la manière dont nous concevons ces lois et la manière dont nous les suivons les yeux fermés. Je crois que Socrate à agis par amour de la justice et n’a pas fui car il aimait trop la ville et car il croyait qu’il lui devait mais surtout il disait ne pas vouloir tenir une réputation d’homme prônant la justice. Dans ce texte nous aborderons plusieurs aspects, mais surtout, les différentes opinions des sophistes et de Socrate.
Dans la philosophie platonicienne, sur les trois grands sophistes Hippias, Thrasymaque et Calliclès du Gorgias qui développent des doctrines sur la justice, seul Hippias a conçu et prône l’égalité dans la justice. De l’aveu de Platon, les deux autres c’est-à-dire Thrasymaque et Gorgias ont conçu une justice inégalitaire fondée sur la thèse de la supériorité de l’homme fort sur l’homme faible. , l’ultime conviction de Platon est que les sophistes sont les initiateurs d’une justice inégalitaire ; car, sans compter la prise d’opinion d’Hippias, Platon s’est plutôt empressé de critiquer les thèses de justice inégalitariste de Thrasymaque et de Gorgias. Dans La République, il révèle que, selon Thrasymaque, . Cela signifie que la justice chez Thrasymaque est inégalitaire dans la mesure où elle est l’application absolue de la volonté des hommes les plus puissants. Il est aussi