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Thèse de doctorat sur john rawls

2150 mots 9 pages
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Voici venu le jour J où nous voulons soumettre à votre appréciation les résultats de nos recherches sur la conception politique de la justice comme équité. Ce travail que nous défendons se veut l’une des réponses aux questions éthiques dans le secteur social où la justice ne pas applicable de façon égale à tous. Concrètement au sein de la société, certaines classes exploitent, marginalisent les autres classes, les biens et les intérêts sociaux sont mal repartis. Les uns jouissent de leurs droits et libertés fondamentaux par contre, les autres en sont privés. C’est pour cela qu’il y a des inquiétudes sociales : la souffrance et la chosification et l’instrumentalisation de la personne humaine. Ce travail nous permet de saisir le sens de l’application de la notion de justice où la justice équitable est vraiment oubliée ; puis il nous permet de dégager quelques pistes susceptibles à faire advenir dans les pays post-conflit un monde meilleur ou chacun peut être reconnu par tous et de tous.
Sur ce, il porte particulièrement sur trois parties importantes à savoir 1. Les principes de la justice, 2. La justice comme équité, 3. L’actualisation de la praxis de la justice dans le pays post-conflit (Pays en voie de développement).

Au premier chapitre Nous avons évoqué la théorie de la justice, nous lui avons adjoint le substantif politique pour se démarquer des théories coutumières. Dans ce sens, cette théorie ne nous a pas donnée la définition exacte de la justice. Mais plus précisément, elle nous a offert des possibilités pour prendre des décisions d’ordre politique. Pour faire le choix de la conception de la justice pouvant répondre aux attentes, aux besoins et motivations de peuple afin d’apaiser et calmer leurs réclamations. L’acte principal était le choix des premiers principes qui aident à expliquer la conception de la justice dans son aspect d’équité contrairement à la conception utilitariste qui loue le principe sacrificiel qui dit chacun pour tous et

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  • Michelle martin
    327 mots | 2 pages

    Vos actes ne sont pas de l’ampleur de ceux de la condamnée mais vous êtes sur une pente qui vous place presque à son niveau. Non, elle n’a pas purgé totalement sa peine, et je vous l’admets une fois de plus, qu’elle le devrait. Je comprends votre colère et votre indignation mais je trouve votre comportement des plus désolants. La justice n’est pas parfaite mais en tant qu’individu d’une société démocratique et vivant dans un pays ou le pouvoir d’expression est libre, vous devriez d’avantage faire attention à vos dires, car ce sont eux, qui éduquent la jeunesse.….

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  • Plaidoirie jashar lazhar
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    C’est pour cela qu’il en est de votre devoir de rétablir la justice en prononçant une peine pour ce voyou. Je vous propose d’abord de faire un….

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  • Explication texte petit traité des grandes vertus de la justice
    1871 mots | 8 pages

    Il définit la justice comme « l’égalité des droits », c’est-à-dire que les règles qui régissant les membres d’une société sont les même pour tous, qu’il oppose aux « forces » et l’égalité des « individus » qu’il oppose aux « puissances », ainsi, en offrant une opposition entre le collectivité et « l’individu », il appuie le constat précédent ; la justice est valable si et seulement si elle respecte l’égalité entre chacun des membres d’une société. Cependant, en citant PASCAL, qu’il qualifie de « cynique » car il avoue souvent des vérités contraires aux conventions sociales en les considérants naturelles, et sa célèbre citation : « La justice sans la force est impuissante, et la force sans la justice est tyrannique », l’auteur met en évidence une des contraintes de la justice ; elle doit être respectée par tous et doit donc même pouvoir forcer les récalcitrants à l’appliquer. « La force gagne toujours face à la justice », car la force est stable et s’impose….

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  • I Principes G N Raux Du Syst Me Judiciaire Marocain
    4388 mots | 18 pages

    Quand on ne parvient plus à s'entendre à l'amiable, on attend de la justice qu'elle rétablisse chacun dans ses droits, mais aussi qu'elle protège les intérêts des individus et ceux de la société.  On parle généralement du "tribunal" pour évoquer le lieu où les personnes en conflit viennent chercher justice et où celles qui n'ont pas respecté les lois sont jugées et sanctionnées.….

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  • Cours iaje l1
    20396 mots | 82 pages

    la justice. Les caractères de la justice sont : * L’Etat dispose d’un monopôle sur la justice mais pas absolu. Puisque concernant l’accès à la justice il existe d’autres justices privé tels que l’arbitrage, la conciliation, la transaction, la médiation… ainsi que la Convention de la procédure participative (loi du 22/12/2010 du code civil titre 17 articles 2062-2068) indiquant que les partis en conflits qui n’ont pas encore fait appel à un juge, s’engage à la résolution à l’amiable sous l’impulsion d’un avocat (interdit pour le droit du travail).….

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  • Culture g selon vous la justice telle qu'elle est pratiquée en france vous semble-t-elle trop sévère ou trop laxiste?
    751 mots | 4 pages

    CULTURE GENERALE Selon vous la justice telle qu'elle est pratiquée en France vous semble-t-elle trop sévère ou trop laxiste? L'idée de justice est universelle, mais elle est tantôt rapportée à l'ordre hiérarchique (donc à l'inégalité), tantôt à l'égalité. Les sociétés démocratiques modernes ont privilégié la seconde conception. En France, avant 1789, l'administration de la justice relevait du chancelier de France, parfois remplacé par un garde des Sceaux, puis elle a été confié à un ministre de la Justice.….

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  • Kkkkkkkkkkk
    383 mots | 2 pages

    Philosophie Question à l’examen: Est-ce que Marc Bellemare a agis de manière morale en dénonçant le processus de nomination de juges? Selon Hume, Marc Bellemare a agis de façon morale en dénonçant le processus de nomination des juges. D’abord, Hume dirait que pour pouvoir agir de façon moral face à une situation, il faut que la personne impliquée soit désintéressé, ses sentiments doivent être calme, elle doit pouvoir appliqué le principe de généralité et finalement faire preuve d’un sentiment de bienveillance, tout cela, dans le but de devenir un spectateur judicieux et impartial. Si une personne réussit à remplir tous ces critères, c’est qu’elle sera apte à pouvoir faire un jugement moral, ce qui implique que c’est personne aura agis de manière morale. Si on en vient au cas de l’ancien ministre de la….

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  • Mesures de surete
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    Pour autant, la Justice n’est pas une abstraction. La Justice est une réalité. Une réalité qui se nourrit de nos vies quotidiennes. Elle est au cœur de la Cité.….

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  • Le roi est -il source de droit ?
    2058 mots | 9 pages

    La justice dite concédée, seigneuriale ou ecclésiastique, survivra jusqu'à la Révolution. En effet, la justice avait été monopolisée à cette époque féodale par des particuliers, des collectivités agissant pour leurs propres noms. De même, à cette époque, la conception de la justice était très élargie, le juge rendant des actes aussi bien judiciaires, administratif, réglementaires que législatifs. Nous verrons, par la suite, que le droit de justice constitue un enjeu de pouvoir capital qui sera au cœur d'une longue bataille entre les juridictions particulières, ecclésiastiques, seigneuriales ainsi que la justice royale.….

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    1753 mots | 8 pages

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  • Philo
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  • Le rire contre la politique
    344 mots | 2 pages

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  • Eerefd
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    Olivier Pellerin JUSTICE La justice fait l’objet de revendications fréquentes et opiniâtres. Il semble que le sentiment d’avoir subi une injustice soit un des sentiments les plus difficiles à supporter. En quoi la justice nous tient-elle tant à cœur ? En quoi nous touche-t-elle de si près ? Cette question prend plus de relief quand on considère que le mot "justice" recouvre des acceptions très diverses.….

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  • Justice / pascal
    612 mots | 3 pages

    On l'appelle alors "justice en fait" c'est à dire Celle qui est "réalisée", appliquée dans la vie sociale. Par exemple, on condamne (ou on ne condamne pas) dans les faits des délinquants, des criminels: la justice serait défaillante dans une société si ils n’étaient pas punis ni sanctionnés comme ils doivent l’être. Mais ce qui est ici appliqué, ce sont des lois.….

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  • Histoire du droit
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    participer d'une dialectique entre deux grands modèles de sociétée, de droit, d'Etat ou d'institution. Les deux grands modèles sont en premier lieu le pluralisme juridique et politique, et en second lieu le centralisme juridique et politique. L'opposition dynamique des deux stystèmes va servir de structure à l'ensemble de l'histoire du droit et des institutions françaises entre le 5em et le 18em siècle. Nous pourrons constater au travers de notre étude que le monde politique et le monde juridique sont étroitement embriqués. Afin de comprendre les institutions, il faut en connaitre le contexte politique, le lieu de rencontre idéal.….

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