Escadrille 80

par

L’univers de Dahl

L’univers de Dahl reste malgré tout celui que l’on a pu découvrir dans Moi, boy. Malgré les changements qui vont le marquer au cours de cette étape formatrice et difficile qu’est la Seconde Guerre mondiale, l’auteur reste fidèle à son style d’écriture, à sa légèreté, à la sincérité dont font preuve constamment et le petit garçon qu’il était, et le soldat aguerri qu’il est devenu, et enfin l’auteur éminent qui écrit l’œuvre.

Ainsi, l’écriture reste particulièrement touchante, et ses centres d’intérêts restent toujours fidèles à ceux qu’il défend d’une œuvre à l’autre. Toujours enclin aux voyages, à la découverte, à la curiosité, on retrouve avec plaisir le petit garçon qu’il était alors qu’il découvre les vastes paysages de Tanganyika, et qu’il réalise ses rêves d’enfant en se rendant capable de conduire un avion de chasse. Le côté facétieux, espiègle qu’il nourrissait étant petit, trouve un écho flagrant dans les pages d’Escadrille 80, même si le récit revêt une tonalité évidemment plus sombre que dans le précédent opus.

« J’adressai un pâ

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