Les cinq cents millions de la Bégum

par

L’éternelle lutte entre le bien et le mal

Dans l’ouvrage, Jules VERNE fait ressortir cette rivalité séculaire entre le positif et le négatif en présentant d’une part deux personnalités différentes, et d’autre part  deux villes différentes.

A-    Deux personnalités différentes

S’il y a une caractéristique des romans d’aventure qui a le don de passionner les lecteurs, c’est bien la lutte entre le bien et le mal. Bien souvent, dans ce genre littéraire, les auteurs présentent d’une part un personnage sympathique et attachant, qui incarne un certain nombre de vertus unanimement prônées par la morale universelle. L’honnêteté, et l’intégrité sont les traits marquant de ces personnages, et parfois, leur volonté à lutter contre les injustices force l’admiration. En un mot, ils incarnent un idéal, celui auquel aspire l’inconscient collectif sans que toutefois cela soit toujours possible dans la réalité. Quoiqu’il en soit, Jules VERNE ne fait pas exception à la règle. Aussi commence t-il par présenter dans « Les cinq cents millions de la Bégum », un personnage qui incarne noblesse et bonté, le docteur François Sarrasin. L’auteur lui-même fera ressortir cette bonté dès la première

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