Souvenirs d’égotisme

par

Une vision de sa société

Stendhal, suite à ses désillusions amoureuses, se recentre sur lui-même mais fait également une analyse de sa société, comme un contrecoup de ses déceptions. Il évoque pêlemêle les questions sur son existence, puis les bonheurs, les malheurs, mais surtout propose une réflexion politique et sociale d’un observateur de son époque, celle d’un homme qui connaît bien le pouvoir, et qui a voyagé en Europe, de Paris à Rome, de Milan à Londres.

Parmi ces villes, on découvre que l’auteur est passionné par l’Italie et les Italiens, mais surtout ceux des grandes villes telles que Rome, Naples, ou encore Milan, la ville de l’amour selon lui. Le fait de se retrouver dans la ville de Civitavecchia lui fait perdre toutes l’idéalisation qu’il avait formée autour de ce pays, admettant que les Italiens des bourgades sont très différents de l’Italie dont il rêve.

Stendhal donne sa vision de la société, que ce soit en Italie, en France, en Angleterre ; par exemple, par rapport au travail des ouvriers, il estime que le travail dix-huit heures par jour des ouvriers anglais est excessif, et il voit dans le rythm

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