Voyage au pays du coton

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Le marché des ressources premières comme moteur de la mondialisation

À l’image de nombreuses autres ressources premières, le coton a été l’un des moteurs de la mondialisation. Il devient impératif pour les états de générer plus de profits. Pour ce faire, il faut avoir plus de marchés pour écouler la production, et une main-d’œuvre la moins chère possible pour réduire les frais. La mondialisation, vue à travers le faisceau de ressources premières, prend l’aspect d’une course au profit.

« Pour récolter, on a besoin de bras. Une première mondialisation s’organise. L’Afrique, pour son malheur, entre dans la danse. L’industrialisation et l’esclavage avancent main dans la main. Tandis que Manchester et ses alentours se couvrent d’usines, Liverpool devient, pour un temps, le centre de la traite des Noirs. »

Ainsi, l’exploitation des ressources premières et du coton en particulier motive la traite des Noirs. La mise en place d’institutions internationales telles que la Banque Mondiale, d’autre part, sert à réguler, dans l’intérêt des états, le marché des ressources premières.

Dans Voyage au pays du coton, ce n’est pas d’un procès de la mondialisa

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