17 Janvier 1995 Cour De Cassation

La Cour de Cassation a rendu successivement une série d'arrêts qui consacrent le droit à réparation de l'enfant handicapé privé de la chance de ne pas naître en raison d'une faute du médecin. Cette Jurisprudence accorde, dans ce cas, à l'enfant handicapé une créance de réparation au médecin qui ne rapporte pas la preuve d'avoir satisfait à son obligation d'information à l'égard de la mère, la mettant ainsi dans l'impossibilité de faire le choix d'un avortement thérapeutique. Enfin, elle étend

était pas obligé nécessairement de licencier derrière. En effet, ce n'est pas parce qu'il modifie qu'il va licencier. Bien que tout le monde semblait être contre cette jurisprudence, elle fut confirmée par l'arrêt du 16 janvier 2004. Or le législateur est intervenu, la loi du 18 janvier 2005 dit que désormais il faudra attendre le refus d'au moins dix salariés pour obliger l'employeur de mettre en place un plan de sauvegarde. Or en l'espèce, on ne nous donne pas l'information nécessaire concernant le

(à propos de l’article 1 de la loi du 17 janvier 1975, dite loi Veil, qui énonce que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie ») que « la seule solution pour sortir de l’impasse […] est de décider que l’embryon n’a pas de personnalité, qu’il peut être un être humain, mais pas une personne juridique ». Cette dissociation entre l’être humain et la personne juridique a été au centre d’une décision très remarquée de la cour d’appel de Lyon du 13 mars 19972. Brièvement

pas d’accord de volonté en vu de produire des effets de droit, de produire des obligations. Autrement dit les actes de complaisance ne sont pas juridiquement obligatoire. Les choses vont se compliquer avec les actes d’assistance, arrêt du 27 janvier 1993 un individu va aider son voisin à élaguer ses arbres mais un des 2 s’arrache le bras. Dans ces actes de complaisances peut on considérer qu’il y a une convention entre les parties telle que serait en jeu les mécanismes de la responsabilité

conséquences de l'absence d'énonciation d’un motif précis dans la lettre de licenciement Section 2 : L'exigence d'une cause réelle et sérieuse §1 - Le contrôle de la Cour de cassation sur la réalité et le sérieux des motifs du licenciement : le désengagement de la Cour de cassation à partir de l’année 1987 ; l’encadrement du pouvoir d’appréciation des juges du fond à partir du début des années 1990 : l’exigence d’une cause objective

juridique interne à une convention internationale ou européenne. La compétence en matière de conventionnalité revient aux tribunaux judiciaires et administratifs, depuis la proclamation d'incompétence par le Conseil Constitutionnel dans sa décision du 15 janvier 1975, relative à l'IVG. Depuis, il semble en apparence que les contrôles de conventionnalité et de constitutionnalité soient des contrôles bien distincts, gérés par des organes différents, et évoluant de manière indépendante. Pourtant, en réalité

cet arrêt de la chambre sociale de la cour de cassation datant du 30 mars 1999, il énonce que « le mensonge du candidat à l’embauche ne peut être sanctionné que s’il constitue un dol ». En effet, le mensonge peut être autorisé dans certains cas (I). Pour que le salarié soit sanctionné, il faudra que le mensonge soit considéré comme un dol, ce qui est devenu plus difficile après un revirement de jurisprudence amorcé par la chambre sociale de la cour de cassation le 30 mars 1999. (II) I) LE MENSONGE

contrat en contrat de travail et condamné au pénal pour travail dissimulé. Ne sont pas concerné par le droit social toute les professions libéral, les travailleurs indépendants, ils sont 300 000 en France. Il reste 17 millions de personne qui sont soumis au code du travail 17 millions de salarié actif dans le secteur privé. Donc le droit du travail c’est l’ensemble des règles juridiques qui concerne les salariées actif dans le secteur privée et qui régissent les relations de ses salariés avec

que l’activité est pérenne. On va considérer que l’on ne va pas se défaire de ses actifs comme cela pourrait être le cas en période d’urgence, dans une optique liquidative par exemple. La société pourra les céder dans de bonnes situations. - L 123-17 du code de commerce : Principe de permanence des méthodes comptables. D’un exercice à un autre, l’entreprise est censée traduire ses flux financiers avec les mêmes règles comptables Ces règles comptables valent pour tous les commerçants, pas seulement

Bulletin des arrêts de la Cour de cassation (chambre civile) Bull. crim : Bulletin des arrêts de la Cour de cassation (chambre criminelle) Bull. Joly : Bulletin Joly Sociétés BRDA : Bulletin rapide de droit des affaires C/ : Contre CA. : Cour d'Appel Cass. : Cour de Cassation Cass. civ. : Cour de Cassation, chambre civile Cass. com. : Cour de Cassation, chambre commerciale. Cass. crim. : Cour de Cassation, chambre criminelle. Cass. Soc. : Cour de Cassation, chambre sociale. C. civ