25 Janvier 1995 Civ 2

« Qui ne dit mot ne consent pas » III) Les conditions relatives à la gestion : 1) L’objet de la gestion : Gestion d’affaire peut résulter de n’importe quel acte juridique ou matériel. S’il s’agit d’un contrat : il peut être passé de 2 manières différentes : • Par représentation : Le gérant informe le cocontractant qu’il agit pour le compte du maitre de l’affaire. • Sans représentation : Le gérant contracte en son nom propre. L’acte de gestion peut être soit : -

loi française n’a pas donné une définition au contrat d’assurance. Cette tâche revient à la doctrine qui s’occupe des définitions et de l’articulation des leurs limites. Les auteurs ont essayé de construire une définition du contrat d’assurance. 2. La définition du contrat d’assurance doit prendre en considération les éléments caractéristiques de ce contrat qui résultent de l’essence même de cet accord de volontés. Dans cette optique, les définitions du contrat d’assurance proposées par les auteurs

l’Université Paris-Dauphine Rapporteurs : Monsieur Jean-François BARBIÈRI Professeur à l’Université de Toulouse 1 Monsieur Nicolas MATHEY Professeur à l’Université de Paris 5 Suffragants : Monsieur Pierre-Yves GAUTIER Professeur à l’Université de Paris 2 Monsieur Thibaut MASSART Professeur à l’Université Paris-Dauphine Monsieur Henri OLIVIER Professeur à l’Université de Liège L’université Paris-Dauphine n’entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans cette thèse. Ces opinions

professionnelle. Avant cette loi l'entrepreneur était responsable sur tout son patrimoine. Désormais avec l'EIRL l'entrepreneur aura 2 patrimoines, un patrimoine personnel et professionnel. Les créanciers personnels ne pourront saisir que sur le patrimoine personnel et les créanciers professionnels, sur le patrimoine professionnel. La loi prévoit qu'à partir du 1er janvier 2013, un entrepreneur pourra créer plusieurs patrimoines professionnels en plus de son patrimoine personnel. L'EIRL limite le droit

causalité Pas d’immunité Conditions 1) Perte d’un bien ou d’un avantage quelconque DOMMAGE 2) Direct ou par ricochets 3) Certain et personnel Conditions FAUTE 1) Violation d’un texte légal ou réglementaire Cas dérogatoires 1) Dommage survenu dans la pratique d’un sport. Dommage matériel, économique, moral, d’affection, de perte de chance. Types 2) Non respect d’un devoir général de comportement (bon père de 2) Dommage survenu suite à l’exercice d’un droit subjectif. SAUF abus de droit : Arrêt famille)

V- SOURCES VI- AVENIR DU CONTRAT VII- ENJEU ECONOMIQUE ET INTERETS DU CONTRAT VIII – CLASSIFICATION DES CONTRATS TITRE I – FORMATION DU CONTRAT Chapitre I – Phase de négociations Section 1- Importance des négociations Section 2 – Principes directeurs dans la conduite des négociations Section 3 – Avant- contrats CHAPITRE II – CONDITIONS DE VALIDITE DES CONTRATS Sous- chapitre I- Conditions de fond Sous- chapitre II- Conditions de forme CHAPITRE III – SANCTION DE VALIDITE

2008, p. 183, cahier n° XX du 00-00-0000 Type de document : 165 Décision commentée : Cour de cassation, civ., 06-03-1876 Numéro du document : Publication : Indexation CONTRAT ET OBLIGATIONS 1.Contrat 2.Exécution 3.Imprévision 4.Révision 5.Equilibre contractuel IMPRÉVISION. CONTRAT A EXÉCUTION SUCCESSIVE. CHANGEMENT DES CIRCONSTANCES. DÉSÉQUILIBRE DES PRESTATIONS. ABSENCE DE RÉVISION Civ. 6 mars 1876 (D. 76. 1. 193, note Giboulot) François Terré, Membre de l'Institut ; Professeur émérite

pas de distinction parfaitement nette entre l’action pénale (répression du coupable) et l’action civile (indemnisation de la victime). Ce n’est que vers 1795, lors de la promulgation du Code des délits et des peines, que l’on a consacré l’existence de 2 actions autonomes : actions pénale et civile, consacrées par l’instauration de juridictions propres. Les critères actuels de la distinction Aujourd’hui, la distinction est parfaitement établie et entraîne une série de conséquences quant à : La

comportement de l’auteur et qui distingue le type de dommage subi. Cette 1ère partie est séduisante mais la suite peut susciter des critiques car il pose un droit à la sécurité de ses biens, à l’intégrité corporelle. Or, il est plus affirmé que démontré.   §2. De la responsabilité à l’indemnisation : Le préjudice de la victime va être réparé par le ou les responsables. Ce qui est nouveau c’est que dans certains cas, la mise en jeu de la responsabilité de l’auteur n’est plus nécessaire à la réparation

ensembles. Rassemble les bailleurs sociaux. En octobre 1981, le premier ministre Pierre Maurois va mettre en place une commission faite pour traiter toutes les questions qui concernent l’habitat social. Cette commission va entreprendre une réflexion de 2 ans, et va publier un rapport « Ensemble, refaire la ville », dans lequel elle incite à retenir des sites spéciaux pour inscrire des opérations d’amélioration de l’habitat des grands ensembles. En 1986 vont être mises en place des démarches DSQ qui renvoient