3e Civ 20 Mars 2002

infrastructures. Dans ce contexte, un recours plus fort à l’intermodalité est nécessaire 16 Philippe Delebecque, Les premiers travaux de la CNUDCI sur le projet préliminaire d’instrument relatif au transport de marchandises par mer, Revue Scapel, 2002, p. 84. 10 puisqu’elle se sert des ressources existantes grâce à l’intégration du transport maritime à courte distance, du rail et du transport fluvial dans la chaîne logistique.17 S’agissant des acteurs du transport multimodal, ce sont les

François Bordas Docteur en droit Ancien chargé d'enseignement à l'Université d'Auvergne Points-clés 1. - Le secret bancaire protège les intérêts publics comme les intérêts privés. La violation de ce secret est pénalement sanctionnée (V. n° 1 à 20). 2. - Les informations couvertes par le secret sont les informations confidentielles reçues à titre profession-nel. Mais cela n'interdit pas aux établissements de crédit de fournir des "renseignements commer-ciaux". Ce secret n'a qu'un caractère

raison de cette qualité du préteur les prêts relevant de son activité ne font plus partie des contrats réels, en revanche si le préteur n’est pas un professionnel au prêt c’est alors que le prêt conserve son caractère réel. (Première chambre civil, 18 mars 2000, Dalloz 2000 page 282 au JCP de 2000 2e partie numéro 10 026) Les fondements du contrat Lorsqu’on parle de fondement sur le plan juridique il s’agit de justifier les moyens juridiques permettant de justifier, expliquer, si le contrat

pénale, la victime qui a un intérêt à obtenir une réparation rapide aura davantage tendance à porter son action civile devant les juridictions civiles. Article 4 du Code de Procédure pénale : le criminel tient le civil en l’Etat. En effet jusqu’en mars 2007 les juridictions civile devaient sursoir à statuer lorsqu’il existait une action pénale pendante relative aux mêmes faits. On devait attendre la décision pénale pour que les juridictions civiles puissent à nouveau statuer. Désormais le juge civil

exception de Premier président : M. Lamanda – Rapporteur : M. PaulLoubière, assisté de Mme Guinamant, auditeur – Premier avocat général : M. Maynial 7 . . CHAMBRES CIVILES AVIS DE LA COUR DE CASSATION procédure et que, par arrêt du 13 mars 2008 (no 07-11.384), la 2e chambre civile de la Cour de cassation a jugé que c’est seulement lorsque, en statuant sur une exception de procédure, l’ordonnance du conseiller de la mise en état met fin à l’instance, que cette ordonnance a, au principal

foncier (art. 380 COCC). BON À SAVOIR NB : Fonds de commerce : Il a été jugé que la combinaison de l’ancien article 395 du COCC abrogé et de la loi n° 77/85 du 10 Août 1977 annule toute vente de fonds de commerce non formalisée par écrit (Cass. civ. 17 juillet 2002, Youniss/SGBS). Immeuble immatriculé : Est frappé de nullité absolue l’acte de vente d’un immeuble immatriculé qui n’est pas passé par devant notaire (CA Dakar, arrêt n° 91 du 25 février 1983, confirmé par CS, arrêt n° 1, du 8 janvier 1986

Ihering 19 Section II : Les caractéristiques de la possession 19 §1 : Le caractère continu 19 §2 : Un caractère paisible 19 §3 : Un caractère public 20 §4 : Un caractère non équivoque 20 Chapitre 2 : Les effets généraux de la possession 20 Section I : L'effet auto-protecteur de la possession 20 §1 : Domaine et régime général des actions possessoires (AP) 21 A : Domaine 21 B : Régime général des actions possessoires 21 §2 : Règles

de!la!décision! Cass.!Civ.,!9!juin!2011,!n°10(10348.$ !!!!•!!!!!!Commentez!l’arrêt!suivant!:$Cass.$Civ.$2,$27$mai$1999,$n°97/13137& ! DOCUMENTS!:
 1)$Cass.$Civ.$3,$8$décembre$2010,$n°09/70636
 2)$Cass.$Civ.$1,$1e$mars$2005,$n°03/20129
 3)$Cass.$Civ.$3,$16$novembre$2011,$n°10/17680
 4)$Cass.$Civ.$2,$18$juillet$1967
 5)$Cass.$Mixte,$27$février$1970,$n°68/10276
 6)$Cass.$Civ.$2,$13$janvier$2005,$n°03/13531
 7)$Cass.$Civ.$2,$27$mai$1999,$n°97/19234
 8)$Cass.$Civ.$1,$9$juin$2011,$n°10/10348


dont il ne veut pas. La liberté contractuelle implique ensuite le droit de choisir son cocontractant. Elle implique enfin le droit de fixer librement le contenu du contrat, sous réserve de respecter l’ordre public et les bonnes mœurs (v. art. 6 c. civ.). L’autonomie de la volonté implique ensuite la force obligatoire du contrat. Ce principe est exprimé par l’article 1134 alinéa 1er du Code civil selon lequel « les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites ». Cela

pratique des preuves en droit civil et en droit criminel, 2e éd. 1852. – R. LEGEAIS, Les règles de preuve en droit civil, permanence et transformation, LGDJ, 1955. – X. LAGARDE, Réflexion critique sur le droit de la preuve, LGDJ, 1994. – F. FERRAND, Rép. civ. Dalloz, V° Preuve, 2006. S’agissant des travaux collectifs : Ch. PERELMAN et P. FORIERS (ss dir.), La preuve en droit, Bruylant, 1981, p. 357 ; Droits 1996, n° 23. – C. PUIGELIER (ss dir.), La preuve, Economica, 2004. 2 E. DUMONT, Préface, in J. BENTHAM