4.48 Psychose

l’exclusion du symbolique qui est sa condition et l’impossibilité de retour dans ce même registre qui est son drame, me parait être tout à fait apte à nous permettre d’introduire les différences entre les trois registres de l’acte. Dans la psychose, l’affinité avec le passage à l’acte tient à ceci : le passage à l’acte a la structure d’un moment de forclusion. Ce qui est mis en évidence, c’est l’exclusion du symbolique, et l’émergence de jouissance à sa place. Le livre, « les paranoïaques et

médicament est-il prescrit ? C'est un neuroleptique qui appartient à la famille chimique des butyrophénones. Il a une action prolongée. Il est utilisé en traitement d'entretien dans certains troubles psychiques (schizophrénie, certains types de psychoses...). Contre-indications du médicament : Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants : ivresse aiguë, état précomateux ; en association avec les médicaments dopaminergiques ou avec le sultopride. Attention En cas de survenue

symptômes on peut trouver des impressions traumatiques nées de la vie sexuelle des toutes premières années ». Freud oppose ces pulsions sexuelles (libido), ou pulsions de conservation de l’espèce, aux pulsions du moi, ou d’auto-conservation. Avec la psychose, cette conception va changer. Freud expliquera la paranoïa comme un retour au stade du narcissisme qui nous est connu comme étant l’un des stades de l’évolution de la libido dans lequel le moi du sujet était l’unique objet sexuel. La formation du

LES PSYCHOSES -Généralités- I/ Le concept de psychose 1- Perte du contact avec la réalité 2- Altération du fonctionnement mental 3- Hallucinations et délires 4- Perte des limites du « moi » 5- Dysfonctionnement social II/ Les hallucinations 1- Des distorsions perceptives d’origines diverses 2- Classification des hallucinations 3- Les différents types d’hallucinations 4- L’automatisme mental III/ Le syndrome délirant 1- Définition 2- Analyse sémiologique

défendre ou échec * Récit : Attaque du lien de la pensée ou illogismes ou discours hermétique , discordance dessin/récit, difficulté a faire une synthèse du dessin par écrit : indice déficience intellectuelle soit pathologie du registre de la psychose ; Difficulté de synthèse retrouvé dans les protocoles ou il y a astructuration (absence lien des éléments entre eux, incapacité mettre en scène les éléments du dessin). * Oublis : retrouvés ds productions sur- mystiques/héroïques, éléments impossible

récits pour en enfanter le mythe personnel de Guy de Maupassant. Mais, quelles seraient les images récurrentes qui permettent de faire ressortir ce mythe ? Qu’est-ce qui prouverait que cet homme ne fut atteint d’une simple névrose mais plutôt d’une psychose ? En ce but, nous commencerions par mettre en parallèle les événements nécrologiques et les situations romancières afin d’y trouver des points communs. Cette historisation serait suivie d’une analyse du mythe œdipien dans le subconscient de l’écrivain

ou M , i.e. si pas deuil alors mélancolie ; ou D et Mélancolie, i.e. rapports de la Mel avec les psychonévroses ; La mélancolie pose la question de ses rapports à la psychose du fait de la question centrale du narcissisme. Opposer les termes de D et de M, permet d’aborder la M comme une expérience psychotique mais non pas une psychose au sens psychiatrique, i.e. en tant que témoin d’un désordre narcissique. En effet, le sujet psychotique l’est par son discours tout autant que par son fonctionnement

s'établit si l'environnement est insuffisamment bon. Le bébé va alors se constituer une personnalité d'emprunt qui répondra aux exigences de l'environnement. Conception de la psychose : Correspond à l'échec, à la faillite de la « formation contenante et rassurante de la mère » → dysfonctionnement de la relation mère/enfant → psychose infantile. Conception de l'autisme : Selon Bleuler : « Perte ou absence de contact avec la réalité ». Caractérisé par des troubles des relations interpersonnelles, peu d'intérêt

un public de personne handicapée psychique. Ce sont des personnes qui ont vécues parfois des années comme tout le monde sans aucuns troubles et qui du jour au lendemain, ou au moment de l'adolescence ont commencés à développer une maladie mentale: psychose, dépression, schizophrénie... avec des troubles tels que les hallucinations, les troubles de l'humeur, les changements de comportements, perte de contact avec la réalité... Tous ces changements ont des impacts fort sur la vie quotidienne: perte

Ainsi, le but de Schreber, dans sa paranoïa, est de "repeupler le monde de nouveau-nés à l'esprit schrébérien".(Lacan démontra que les hypothèses de Freud quant à l'homosexualité de Schreber était fausse, car il n'y a pas de refoulement dans la psychose. L'homosexualité à l'époque de Freud était considéré comme une perversion, bien sur maintenant nous savons que cela est faux. Freud a essayé d'expliquer un cas psychotique par les processus de névrose car ce n'étaient que les seules bases théoriques