5 Forces De Porter Secteur Bancaire Francais

Partie 1 : le marketing et le marketing bancaire Section 1 : généralités sur le marketing 1- quelques définitions de marketing Le Marketing est un terme anglo-saxon, crée aux USA au début du siècle dernier suite au développement industriel. Traduit ensuite par l’académie française en « mercatique », mais cette traduction n’a pas trouvé toute son ampleur. Parmi les définitions que nous avons recensé, nous retenons celles proposées par : P.L DUBOIS, A.JOLIBERT, elle nous semble

Croissance du PIB | 2,3 % (2008) 2 | PIB par habitanten PPA | 1 600 USD (2011) 2[2] | PIB par secteur | agriculture : 23,9 % industrie : 25,3 % services : 50,8 % (est. 2007) 4 | Inflation (IPC) | 8,1 % (est. 2008) 2 | Pop. sous le seuil de pauvreté | 48,9 % (est. 2008) 2 | Indice de développement humain (IDH) | (163e) en 2009 2 | Population active | 6 502 115[3] | Population active par secteur | agriculture : 27 % industrie : 18,5 % services : 54,5 % (2006) 1 | Taux de chômage | 45 %

croissance différentes : « souris » et « gazelles » Les PME entre incertitude et dynamisme Une approche du profil financier des PME françaises : le système « ECO » Les stratégies bancaires sur le « middle market » S’adapter aux besoins des PME : le capital investissement, le « leasing », l’affacturage Les relations bancaires au Crédit Agricole Le rôle d’OSEO - 3 3 1 N U M É R O REVUE ÉDITÉE PAR CRÉDIT AGRICOLE S.A. – B A N C A I R E S H O R I Z O N S DIRECTION DES ÉTUDES

électroniques Chapitre IV : Etudes de cas (Ebay et WWRE) Projet de fin d’étude Mohamed Riffi Amarti 4 TCC 2° année 2006/2007 Le commerce électronique entre particuliers et professionnels Projet de fin d’étude Mohamed Riffi Amarti 5 TCC 2° année 2006/2007 Le commerce électronique entre particuliers et professionnels Section 1 : Définitions et types du commerce électronique. §1-Définitions du commerce électronique Historiquement, le « commerce électronique » a fait son

bien être, notre priorité ! DEMANET Jean-Philippe Sommaire I) Définition de l’idée Page 4 II) Identification de l’entreprise Page 5 III) Etude de la demande 1) Les tendances Page 6 2) La clientèle Page 7 3) Les formes de clientèles Page 8 4) Les attentes Page 9 5) Les motivations d’achat Page 10 6) Les contraintes Page 11 7) Les facteurs environnementaux Page 12 8) Les chiffres clés Page 13 IV)

ITB 1ère année Préparation Oral 2009 Environnement réglementaire des activités de la banque de détail Sujet 1 : Le secteur bancaire est tenu à une obligation de sécurité forte et spécifique. Après avoir présenté les raisons de cette situation, expliquez le rôle des autorités de tutelle à cet égard. Sujet 2 : Expliquez pourquoi le secteur bancaire et financier est un des plus encadrés et des plus contrôlés. Sujet 3 : Après avoir défini le risque systémique, présentez le(s) dispositif(s)

| | | |Section n°1  : Le marché africain | |113 | |Section n° 2 : Le marché français | |116 | |Conclusion | | | |

.........4 C - LES DOMAINES D’INTERVENTION DES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES ........................................5 D - LA NÉCESSITÉ D’UNE APPROCHE INTERNATIONALE ET EUROPÉENNE....................................................................................5 1. La « mondialisation » .......................................................................5 2. L’Europe...........................................................................................6 II - DES AUTORITÉS DE RÉGULATION

Jean Louis | Etude de cas | Compte rendu | | Sommaire 1. Analyse : 3 1.1. Le marché du vin : 3 1.1.1. Diagramme PESTEL : 4 1.1.2. Vin Français VS Etranger : 5 1.2. Environnement interne : 5 1.3. Environnement Concurrentiel : 6 1.3.1. Concurrence « élargie » : 6 1.3.2. Concurrence directe : 8 1.4. Environnement Internet : 9 1.5. Environnement Hypermarchés : 12 2. Synthèse : 15 2.1. Problèmes : 15 2.2 . Objectifs: 15 2.3. Comparaison des trois

forme d’une aide budgétaire. Du point de vue du financement du développement les capitaux privés de long terme sont encore limités. Les investissements directs sont évalués annuellement à 600 millions de FDJ, soit 0,6 % du Produit Intérieur Brut ou 5 à 6 dollars par habitant, un flux beaucoup plus limité que celui généralement observé dans les pays en développement. La taille du marché local constitue sans doute un élément d’explication de cette faiblesse de l’investissement direct, mais également