Atheisme

Molière, représentant de la littérature classique du 17ème siècle, montre de l’irrespect à l'égard du mariage et de la religion. On lui reproche son athéisme, accusation très grave pouvant mettre sa vie en danger, et par voie de conséquence, on censure son Tartuffe (pièce qui critique énormément la société et la religion). Molière écrit en 1664 Dom Juan, destiné à remplacer en quelque sorte Tartuffe : il s’agit d’une critique sociale et morale aussi virulente que la précédente. Cet auteur a imaginé

La cathédrale de Nôtre-Dame de Paris est comble. Or les sacres des rois de France avaient lieu habituellement à la cathédrale de Reims. Parmi les assistants du premier rang figurent beaucoup d'anciens révolutionnaires qui n'ont jamais caché leur athéisme militant. Certains, comme Fouché, le ministre de la Police générale, se sont signalés pendant la Terreur dans des massacres ignobles d'ecclésiastiques et de religieux. La cérémonie est quelque peu brouillonne et totalement dénuée de spiritualité

pour d’autres des valeurs inutiles et dérisoires dont on peut bien se passer pourvu que les désirs soient satisfaits. Ces oppositions peuvent être mises en relation avec la dualité de Musset qui rêvait d’idéal et d’amour pur d’un côté et prônait son athéisme et libertinage de l’autre.

bienfaisance * La tolérance * La nature * Le travail 6) Déisme: croyance en un dieu unique, suprême, créateur de l’univers. Rejette toute autre forme de religion extérieure Libertinage: manière de vivre d’une personne libertine. Athéisme: attitude qui consiste à ne pas croire en l’existence de Dieu ou de toute autre divinité. Tolérance: fait de respecter la liberté, les opinions, l’attitude d’autrui. Esclavage: dépendance étroite de quelqu’un à l’égard de quelqu’un ou de quelque

ayions de bonnes raisons d'y croire?          I- La réponse théiste : on peut justifier la croyance en l’existence de Dieu par la raison.         1) Définition du théisme         Pris généralement, le terme « théisme » désigne (en anglais) le non athéisme philosophique, armé d’un arsenal de preuves rationnelles de l’existence de Dieu.           2) Synonymes a)  la « religion des philosophes » Cf. le « Dieu des philosophes » (in cours sur les Méditations métaphysiques de Descartes) b) la « religion

croyants. Ils passent leur vie dans la crainte du jugement dernier, ils s’astreignent à des sacrifices, des pénitences qui empoisonnent littéralement leur existence. Epicure nous demande non pas de ne pas croire aux dieux (l’épicurisme n’est pas un athéisme) mais de nous en faire une idée adéquate. * Le bonheur échappe trop souvent à l'Homme en raison de ses soucis et ses angoisses. Et la première de ces angoisses, c'est celle de la mort. Epicure entend, sans nier l'échéance inéluctable, dissoudre

Meursault ne croit qu'au premier. II- Les convictions de Meursault a) Meursault livre sa vérité => " je tanais cette vérité autant qu'elle me tanait "-> paradoxe -> Meursault à la recherche de la vérité depuis le début du roman la dévoile ici. Son athéisme => " sûr " x4 ; " raison " x3 ; " privilégié " " condamnerait " -> répétitions expressives -> Martèlement de son " credo ". Meursault livre enfin sa profession de foi: en athée, il est sûr qu'il n'y a rien après la mort à laquelle nous sommes tous

oublier sa propre misère (« la religion est le soupir de la créature opprimée » dit-il dans ce fameux passage de la Critique de la philosophie du droit de Hegel (1843) d’où est extraite la formule. La pensée marxiste s’inscrit en effet d’emblée dans un athéisme critique qui définit la croyance religieuse comme une fiction et une aliénation. La religion exprime bien une attente humaine, révèle une détresse qu’elle permet finalement de calmer. Elle est au fond une sorte de consolation. La religion est une

Le bonheur matériel ou l’accord entre une vie morale et le bonheur futur octroyé. Ce que Kent appelle « l’idéal du souverain bien » Au demeurant l’athéisme est vrai comme une religion, ce sont deux moments, deux périodes de la quête éternelle. Athéisme qui part d’une humanité allant vers une connaissance toujours plus vaste, donc universelle, mais est-il capable d’atteindre le but ultime et de plus de le maîtriser et admettre qu’il achève la démarche. Pour conclure : Si les hommes ne peuvent

argumentation ne serait nécessaire B) La croyance, force ou faiblesse de l'esprit Vrai pêché = perte de la foi Croyance : deux formes = foi, l'engagement personnel Une vulgère superstition, croyance sans preuve, mauvaise croyance Sens 1 : Athéisme est une force d'esprit car l'esprit critique argumente, fonde lui même ses vérités Sens 2 : Exigence de vérité = idéal sans preuve Athée = foi en la vérité Nieztche : Martyr = fermeté d'esprit, stupidité, absence d'esprit critique.. borné. Malhonnêteté