Abstraction lyrique

plus étrangères. Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste. Ainsi la bestialité exclut la pédérastie. L’esprit de bouffonnerie peut ne pas exclure la charité, mais c’est rare. L’enthousiasme qui s’applique à autre chose que les abstractions est un signe de faiblesse et de maladie. La maigreur est plus nue, plus indécente que la graisse. VI – Ciel tragique. Épithète d’on ordre abstrait appliqué à un être matériel. – L’homme boit la lumière avec l’atmosphère. Ainsi le peuple a raison

l’acte meurtrier. > Lecture du monologue. Puis : - Les registres du monologue : la richesse du langage théâtral permet un mélange des registres > tragique (sentiment prophétique de catastrophes inévitables qui auront effectivement lieu) ; lyrique (l’expression débridée du « moi » du personnage principal qui ne s’exprime sincèrement et totalement que dans les monologues) ; polémique (le monologue cherche à trouver dans un dialogue intérieur des réponses incertaines à des questions pressantes

aparté au milieu d'un discours pour interpeller un objet ou une personne symbolique « Le destin accable mon jeune client... - Ah! L'Innocent qui a pu échapper à la peine, qu'il connaît bien les affres de l'accusation ! » [Poétique] adresse lyrique à un objet ou à un personnage mythique pour rendre une description plus sensible « O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir... » — Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques la épanorthose

aparté au milieu d'un discours pour interpeller un objet ou une personne symbolique « Le destin accable mon jeune client... - Ah! L'Innocent qui a pu échapper à la peine, qu'il connaît bien les affres de l'accusation ! » [Poétique] adresse lyrique à un objet ou à un personnage mythique pour rendre une description plus sensible « O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir... » — Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques la épanorthose

(1755/43 ans). ------------------------------------------------- Les deux Discours ont permis à Rousseau de faire paraître l'homme naturel tel qu'on peut le reconstruire intellectuellement par une démarche régressive, c'est-à-dire en faisant abstraction des données culturelles qui l'occultent ; l'Emile va dire comment faire l'homme vrai dans le monde tel qu'il est, comment éduquer un homme au plus près de sa nature dans le monde culturel de l'artifice et de la convention. 1.2. Par rapport à

pu échappé à la peine, qu'il connaît| | | |personne symbolique |bien les affres de l'accusation ! » | | | |[Poétique] adresse lyrique à un objet ou |« O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! | | | |à un personnage mythique pour rendre une |Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir... »| | |

intéressant de s’interroger avec les élèves sur l’étonnante préface dépréciative d’Yves Gohin dans l’édition Poésie Gallimard et d’en examiner l’argumentation. Ils permettent, par ailleurs, de découvrir tout à la fois des poèmes lyriques et satiriques mais aussi méta- poétiques, offrant ainsi une réflexion sur la nature et la fonction de la poésie. Le découpage choisi met à jour l’imbrication de la sphère privée et de la sphère publique, et en particulier le rôle singulier que joue

parisiens. Il a l’impression de retrouver une authenticité. Il cherche quelque chose qui ne correspond à la vie parisienne. Une phrase en 1888 par Gauguin représente bien sa pensée « Un conseil, ne copiez pas trop d’après nature, l’art est une abstraction, tirez là de la nature en rêvant devant , et pensez plus à la création qu’au résultat ». Il veut imiter la vérité et pas imiter quelque chose comme elle devrait être. D’ailleurs il fera une de ses œuvres en Bretagne en donnant un clin d’œil là

la monarchie. En religion il est sceptique puis matérialiste expérimental, sa morale est basée sur la rechercher du bonheur et de la bienfaisance. Le romantisme en langue anglaise Samuel Taylor Coleridge et William Wordsworth publient Ballades lyrique. Ils sont alors conscient de marquer une rupture en utilisant la langue de tous les jours pour écrire et traitent de sujets quotidiens. Ils s’enthousiasment pour les évènements qui transforment le paysage politique français. * Coleridge : intègre

Chapitre 3 • La poésie n 3. Ponctuation et tonalités (question 2) Le premier dizain cité offre une ponctuation très forte placée sous le signe presque exclusif de l’exclamatif (v. 1, 4 et 10). On y verra bien sûr l’indice majeur d’une tonalité lyrique, exprimant ici l’admiration que le poète observateur éprouve devant le spectacle de la nature. La quasi-anaphore du « que j’aime » (v. 1 et 11) assure la continuité, à trois dizains d’intervalle, entre la première et la deuxième des strophes que