Adage Le Roi Empereur En Son Royaume

« J’ai le droit à … ». Ce concept est apparu tardivement (fin du Moyen-âge) car il était incompréhensible puisque le droit représentait une relation entre des personnes. Il existe avec force à la fin du XVII° siècle. Les gens réclament leurs droits au roi. On déclare ses droits. La première conception est donc naturaliste. Ensuite, on va imposer ses droits de première génération et on va demander à l’État de fonder de nouvelles prestations. Cette conception est donc prestationnelle (deuxième génération)

premier roi des Francs. Vous le connaissez, il s’appelle Clovis. Nous commencerons alors à sortir de la purée de pois. Mais lentement. Avis : entre « An 500 » et « An 1000 », il est fortement déconseillé de se baigner. L’eau est pleine de sang. À hauteur de « An 800 », nous verrons briller un phare rouge : c’est Charlemagne, drapé dans la pourpre impériale. Une fois passé ce phare, il faudra nous attendre à quelques attaques vikings. Puis nous atteindrons les rapides de l’an Mil. 5 Un roi de France

féodalité. Rappel Les Ottoniens ont mis en place un système politique qui s’appuie d’abord sur L’ÉGLISE = Reichskirchensystem et notamment sur les princes évêques qui font partie de l’entourage du roi et sont ses auxiliaires de gouvernement. Il les nomme, 6 les révoque. Les liens entre évêques et empereur sont si étroits que, dès les Ottoniens, l’empereur investit l’évêque sur son territoire épiscopal = les investitures laïques symbolisés par la remise de la crosse épiscopale. Investiture de son

l'Etat en formation et sur la société bourgeoise et paysanne (le Tiers Etat) le roi a fait reculer, a domestiqué les seigneurs. La conséquence : cet abaissement des seigneurs a permis à son tour le renforcement de l'Etat. Mais rien ne fut possible sans l'appui de la société. L'absolutisme monarchique en ce sens n'est pas l'oppression de la société par le roi ; il exprime la volonté sociale. C'est un mandat confié au roi, le moyen d'évincer les seigneurs qui exploitent les roturiers, et de construire

accusatoire. C’est pourquoi les réformes du régime impérial furent bien accueillies. II) La période impériale L’étude de l’organisation juridictionnelle devient plus complexe à partir de 27 avant JC, date où Octave, neveu de César, devient empereur (Il devient Octave auguste). Suivant la même méthode qu’il va utiliser pour réformer les institutions, Octave Auguste n’efface pas la République, il laisse longtemps subsister les institutions judiciaires même s’il va limiter leur compétence.

plus d’Etat dans la mesure où le pouvoir est personnel. On est passé d’un pouvoir abstrait à un pouvoir concret. Chez les mérovingiens, le pouvoir est également patrimonial : il est considéré comme la propriété de son titulaire. A la mort d’un roi, si celui-ci avait 3 fils, il « découpait » le pays en 3 et donnait à chacun de ses fils un bout du pays. Chacun des fils va devoir se rendre sur place pour qu’on leur jure fidélité. La dynastie des Carolingiens Ils prennent le pouvoir en 751.

l'Etat en formation et sur la société bourgeoise et paysanne (le Tiers Etat) le roi a fait reculer, a domestiqué les seigneurs. La conséquence : cet abaissement des seigneurs a permis à son tour le renforcement de l'Etat. Mais rien ne fut possible sans l'appui de la société. L'absolutisme monarchique en ce sens n'est pas l'oppression de la société par le roi ; il exprime la volonté sociale. C'est un mandat confié au roi, le moyen d'évincer les seigneurs qui exploitent les roturiers, et de construire

place par les Wisigoths : le bréviaire d’agaric fait en 506 par Adaric II comporte également une tarification que l’on retrouve concernant toutes les atteintes à l’intégrité de l’individu, elle est valable dans notre espace car la Catalogne est le royaume de Goths. Il y a donc une globalisation, généralisation de ces mécanismes juridiques consistants à établir une tarification pour les exactions commises. Il arrive aussi que la composition pécuniaire varie d’une affaire à une autre par le biais

savoir à l’avance quelle tribu va être le prochain prytane dirigeant. Cela empêche la corruption des prytanes. On élit un président au sein de la prytane qui reste en fonction durant une journée, c'est « l’épistate des prytanes ». Il n’y a pas de roi à Athènes, mai l’épistate s'en rapproche: on assiste à la dépersonnalisation du pouvoir. On veut empêcher qu’une seule personne ai trop de pouvoir. Les bouleutes reçoivent le « misthos », un salaire versé par les caisses publiques pour dédommager

fidèle à un roi malheureux, et quelquefois de s'être expliqué sur le droit douteux du vainqueur. Enfin les moeurs s'adoucirent; il est vrai qu'on a continué d'arracher le coeur, mais c'est toujours après la mort du condamné. L'appareil est affreux, mais la mort est douce, si elle peut l'être. III DES PEINES CONTRE LES HERETIQUES        Ce fut surtout la tyrannie qui la première décerna la peine de mort contre ceux qui différaient de l'Eglise dominante dans quelques dogmes. Aucun empereur chrétien