Adalbéron Laon

augmentation des rites et célébrations funéraires et un culte des martyrs comme Pierre et Paul. * Cluny est considérée comme la « nouvelle Rome » avec la construction d’un nouvel édifice en 1095 ,des images sculptées ds la pierre… * Selon Adalbéron de Laon Cluny a pr objectif dès 1025 de se substituer aux royautés défaillantes. * Milieu du XIéme : deuxième réforme épiscopale avec l’imposition de la chasteté et du célibat. * Malgré tout, la simonie reste importante avec Guillaume le Grand

LOIACONO Histoire du Droit UGO GROUPE B06 Commentaire de Texte Adalbéron de Laon est chancelier du roi Lothaire en 974 avant de devenir évêque de Laon de 977 à 1930. Célèbre notamment pour ces nombreux revirements de position au détriment de ces alliés, il est surnommé Vieux traitre, du latin Vetulus Traditor. C'est dans un contexte d'age d'or du christianisme, de grande inflation sociale et de féodalité à la royauté instable, qu'il écrit, entre 1027 et 1030, le Poème au roi Robert, s'adressant

Poème au roi Robert par Adalbéron de Laon Le texte qu’il nous faut ici commenter est un poème d’Adalbéron de Laon rédigé entre 1025 et 1030. Adalbéron était un homme de pouvoir aussi nommé Ascelin, il était un proche du roi Lothaire en la personne de son chancelier c’est également par ce dernier qu’il sera nommé évêque de Laon. Son oncle l’archevêque de Reims lui donnera la consécration en 977 en la cathédrale de Laon. Sa fidélité bien que remise en doute par des rumeurs ne sera

Le texte est un poème au roi capétien de France Robert écrit par Adalberon de Laon en 1025 qui expose la tripartition sociale. Il confirme se positions sur l'ordre social.  Adalbéron de Laon était chancelier du roi Lothaire puis nommé évêque de Laon par Lothaire en 977. Il était descendant de sang royal issus des Carolingiens et des Capétiens.  Dans son poème, il mentionne deux lois qui régissent les ordres de la Res publica(La Republique) pour assurer et maintenir la paix de l'Eglise. Il démontre

Souveraineté et société d’ordres Adalbéron de Laon († 1030 ou 1031, abbaye Saint-Vincent de Laon), évêque de Laon de 977 à 1030 est un membre de la maison d'Ardenne et un fils de Régnier, comte de Bastogne, et un neveu de Godefroy le Captif, comte de Verdun et d'Adalbéron archevêque de Reims. Après avoir commencé ses études à Gorze, il est de 969 à 974 l’élève à Reims de Gerbert d’Aurillac, le futur pape Sylvestre II. Lothaire, roi carolingien de France, le nomme évêque de Laon le 16 janvier 977, après

La commune de Laon Introduction : Guibert de Nogent (1055-1125) est un écrivain et historien français du Moyen-Age. Il devient moine à l’abbaye bénédictine Saint-Germe-de-Fly jusqu’en 1104 où il est élu abbé. C’est après avoir été témoin de l’insurrection qui éclate à Laon qu’il relate les faits dans son autobiographie. Mais son point de vue n’est pas objectif puisqu’il est un adversaire méprisant du mouvement communal comme le montre à la ligne 3 la caractérisation qu’il fait de la commune qui

bataille de l’Aisne ou offensive Nivelle commence le 16 avril 1917 à 6 heures du matin pendant la Première Guerre mondiale par la tentative française, avec le support britannique de rupture du front allemand (ligne Hindenburg) entre Soissons et Reims vers Laon, sous les ordres du général Nivelle : « l’heure est venue, confiance, courage et Vive la France ! » Le 16 avril 1917, les Français lancent une grande offensive en Picardie, sur le Chemin des Dames. Mal préparée, mal engagée, elle va entraîner un profond

Soissonnais, le Vermandois et la Thiérache. Pourtant, par-delà la diversité des paysages et même des modes de vie, ces pays ont en commun une histoire, faite de violences et de guerres, de drames et de déchirures, de domination et de soumission : Laon fut capitale carolingienne et Soissons capitale mérovingienne, avant que les rois ne choisissent Paris, à laquelle, depuis, la Haute-Picardie est restée subordonnée. Là où se rencontrent les plateaux de l'Île-de-France et la vaste plaine crayeuse

qui accusa d'usurpation son pair. Pour échapper à l’emprise de sa mère et de ses oncles maternels, il se rapproche de son parrain Philippe d'Alsace, comte de Flandre, qui lui donne sa nièce Isabelle en mariage. Le 28 avril 1180, l'évêque Roger de Laon bénit les jeunes époux en l'abbaye d'Arrouaise près de Bapaume. Isabelle, fille de Baudouin V de Hainaut lui apporte l'Artois en dot. Puis, le 28 juin 1180, trois mois avant la mort de son père, il signe le traité de Gisors avec Henri II d'Angleterre

échange de la concession de la couronne à Louis IV d'Outremer. Mais, avant de parvenir au pouvoir, il doit se libérer de la tutelle des Ottoniens et éliminer les derniers Carolingiens. C'est avec le soutien de l'Église, et en particulier de l'évêque Adalbéron de Reims et de Gerbert d'Aurillac, tous deux proches de la cour ottonienne, qu'il est enfin élu et sacré roi des Francs en 987.