Adage

consentement, de s’approprier ses biens, de l’humilier, de lui infliger des souffrances, de le martyriser et de le tuer. Homo homini lupus : qui aurait le courage, en face de tous les enseignements de la vie et de l’histoire, de s’inscrire en faux contre cet adage ? Cette tendance à l’agression, que nous pouvons déceler en nous-mêmes et dont nous supposons à bon droit l’existence chez autrui, constitue le facteur principal de perturbation dans nos rapports avec notre prochain ; c’est elle qui impose à la civilisation

Civil : « La qualité de la loi ». Aristote affirmait que « nul n’est censé ignorer la loi ». Ce célèbre adage ne signifie pas que tout citoyen est censé connaître l’ensemble des textes législatifs et réglementaires existant dans l’ordre juridique français. Avec 8 000 lois et plus de 110 000 décrets en vigueur, le plus studieux des juristes ne relèverait pas un tel défi. Cet adage représente en fait une fiction juridique, c’est à dire un principe dont on sait la réalisation impossible, mais

L’introduction Dura lex, sed lex, cet adage latin dévoile toute la puissance de la loi et la dureté qui s’en dégage. A la lecture de cet adage la Loi est synonyme d’obéissance et de fermeté, donc de châtiments. On se pose alors la question de quel est donc la définition du droit ? Le Droit recouvre plusieurs notions. Tantôt, on entend par droit, l'ensemble des règles juridiques, ce qu'on appelle "le droit objectif" ; tantôt, on entend par droit, telle ou telle prérogative dont une personne

l’homme est une histoire| Reformulation du sujet : La maxime proposée parodie une citation de Simone de Beauvoir, elle affirme que l’humanité se conquiert, qu’elle n’est pas donnée ou reçue au point de départ de la vie. Que doit-on penser de cet adage ? Quel est son sens ? ses fondements ? sa valeur ? 2/ Proposition de corrigé : Introduction : Simone de Beauvoir disait, à propos de la condition féminine : « On ne naît pas femme, on le devient». Elle voulait dire que la féminité n’est pas donnée

souscrire une assurance décès, prévoyant une majoration de 20% aux enfants, seul Paul, l'enfant né vivant et viable peux bénéficier du contrat d'assurance vie, le décès a lieu avant la naissance de l'enfant, peux il en bénéficier ? Droit applicable : Adage  « infans conceptus » Arrêt Cour de Cassation 10 décembre 1985 « enfant a charge » Solution juridique : L'arrêt 1985 prévoit que l'héritage d'une assurance vie ce fait en vertu du principe contenu dans l'adage de « l'infans conceptus » sachant

les personnes publiques et les particuliers (conflit en vous et votre mairie). Les sources du droit Le premier adage à connaître nous vient du droit romain : « Nul n’est censé ignorer la loi ». Cet adage ne signifie pas que chaque citoyen est censé connaître et comprendre toutes les règles de droit afin de n’en violer aucune. Ce serait trop dur. En fait, cet adage signifie que, à l’occasion d’un procès, on ne peut pas faire valoir l’ignorance de la loi comme justification d’un comportement

TD 1DissertationL’office du juge et la loi pénale« Nulum crimen nulla poena sine lege » , cet adage, adage fondamental du droit pénal, signifie « pas de crime, pas de peine, sans loi ». Cela montre deux exigences de la loi pénale : un juge ne peut condamner pénalement un individu que si son comportement correspond à une infraction prévue par la loi. De plus, un juge ne peut infliger à l’individu ayant fait une infraction que l’une des peines prévues par la loi. Ceci démontre donc l’importance

TRADITIONNELLE. L’oralité a pris son essence depuis le jour ou l’homme était en contact avec le langage qui est une faculté propre à l’homme. Comme nous l’avions dit au départ, l’oralité englobe tout ce qui est conte, proverbe, devinette, énigme, adage, maxime, sentence, etc. Tous ces genres sont appelés genre oraux et ont pour but de véhiculé le message, une information, qui peut être soit un conseil, une leçon, un avertissement, une prévention etc. En Afrique l’oralité occupe une place très importante

à compter du jour où le titulaire du droit a connu ou aurait du connaître le fait lui permettant de l’exercer. C’est une condition subjective, on ne prend pas la naissance de la création du droit. Art 2224. Avant la loi c’était l’application d’un adage « on ne prescrit qu’à compter du moment où on peut agir ». La logique c’est que c’est normal que l’on laisse prescrire alors que le créancier n’est pas au courant. Mais 2e logique : on ne va pas ce casser les pieds avec des veilles affaires. D’où

dialogue des traditions. Car, c’est dans la confrontation des pratiques, dans l’explication et la compréhension des faits, que s’aplanissent les incompréhensions, les inimitiés et les délits de condamnation. Un adage africain dit à ce propos que «nul ne doit pointer du doigt son village natal». Cet adage montre à quel point le village est sacré pour l’Africain en ce sens qu’il représente la terre des ancêtres, mieux, la terre nourricière et protectrice. Dans ces différentes manifestations, la tradition africaine