Adam Clayton

fantaisie poétique : accumulation d’images / variations de rythmes / jeux de mots / Cherche à montrer d’une analogie peintre – poète, chacun déstructurant l’objet avec ses outils. Poème engagé – remise en cause de l’art et de la société : - « Et Eve puis Adam » : inversion de l’ordre traditionnel imposé par les textes. charge anticléricale, contre les associations de bienfaisance, dites aussi de charité : prévert fait rimer « charitable » avec « redoutable », et « charité » avec « redoutabilité ». -Le

trois épisodes renvoyant précisément à la chronologie de la Genèse. Le panneau du Chariot de foin au contraire se lit de haut en bas. Les différentes étapes se lisent donc dans une continuité du paysage, du plan le plus éloigné vers le premier plan. Adam et Ève sont représentés nus, conformément au texte de la Genèse - puisque la conscience de la nudité n'arrive qu'après le Péché originel. Au troisième plan est représentée la création d'Ève par Dieu. Alors qu'Adam est endormi, et repose à terre sur

barbu, à gauche de la composition, est enveloppé d’un manteau rouge, qui recouvre également des anges. Son corps est en avant, symbolisant le don de soi ; sa main est tendue, cherchant à aller le plus loin, ou plutôt au plus près d’Adam, sa création. Adam, situé à droite, représenté nu, est plus détendu, sa main relâchée. Il semble recevoir la main de Dieu. Nous voyons donc que Dieu donne et qu’Adam reçoit. Il y a également une symétrie, montrant que l’homme a été crée à l’image de Dieu. Dans le texte

pour objet de restreindre la liberté du commerce entre les Etats ou avec l’étranger. Termes du Sherman Act, l’ineffcacité de ce dernier amène à l’adoption du Clayton Act. Rejet de ce droit nouveau par le juge de Common Law et invoque la règle de la raison the rule of reason. Le Sherman Act n’est pas fortement mis en œuvre puis 1914 Clayton Act qui créé la Federal Trade Commission. Cette agence va être compétente pour mettre en œuvre ces textes. Il faut inciter les victimes à agir (one way cost),

les prix par les acheteurs ou les vendeurs. La section 2 du Sherman Act interdit les comportements qui conduisent à des situations de monopole. La loi Clayton, avec le Robinson-Patman Act, interdit la discrimination par les prix et l’exclusivité des échanges (des vendeurs interdisant aux acheteurs d'acheter les produits d'autres vendeurs). Le Clayton Act limite également les fusions quand elles peuvent réduire sensiblement la concurrence. La Federal Trade Commission Act, interdit l’utilisation de pratiques

l'idée selon laquelle il faudrait donner un cadre général à la concurrence pour qu’elle puisse être gérée, organisée : face au libéralisme traditionnel apparaît le concept de la Common Law « the rule of reason », soit la règle de la raison. La loi Clayton (1914), la politique du New Deal et autres projets officiels ont fait preuve de l'intérêt effectif de faire appel sensiblement et raisonnablement à l'interventionnisme de l'État afin de réguler les marchés, même dans un pays fondamentalement libéral

entreprise, la concurrence est constituée de l’ensemble des acteurs proposant des produits ou services répondant au même besoin que celui à laquelle cherche à répondre l’entreprise par le biais de son offre commerciale. Depuis Adam Smith, la concurrence est un concept fondamental de la tradition libérale et de la science économique. Selon ce point de vue, elle est un aspect de la liberté individuelle et donne non seulement le droit mais aussi la possibilité matérielle

conçu pour le plein exercice des libertés individuelles ; un Etat du laisser-faire, laissez-passer, qui s’en remet, pour le reste et l’essentiel, à la négociation contractuelle entre individus libres et égaux en droit, c’est-à-dire au marché. Mais Adam Smith définit explicitement les devoirs du souverain. Le rôle de l’Etat est limité aux fonctions qui permettent à la société de vivre en paix et aux particuliers d’exercer leurs activités conformément à leurs intérêts et donc à l’intérêt collectif

physiocrates attribuent cet « ordre naturel » à la providence divine. La réalisation de cet ordre naturel est permise par la recherche de l’intérêt particulier qui concourt naturellement à l’intérêt général (idée exprimée par Bernard Mandeville et reprise par Adam Smith, et déjà émise par Baruch Spinoza un siècle plus tôt). On leur doit la première représentation circulaire de l’économie1, mais l’idée d’une autorégulation par le marché ne leur vint pas. Dans leur réflexion, les physiocrates (Gournay, Turgot

peuvent obtenir des dommages triples (treble damages). Clayton Act (1914) : Aux États-Unis, le Clayton Antitrust Act du 15 octobre 1914 fut voté pour remédier aux insuffisances du Sherman Antitrust Act de 1890, la première loi du droit moderne de la concurrence rendant illégales certaines pratiques anticoncurrentielles. Il fut introduit par le représentant démocrate de l'Alabama, Henry De Lamar Clayton, sous la présidence de Woodrow Wilson. Le Clayton Act interdit les pratiques de prix discriminatoires